Bientôt la saison des déménagements et des vacances avec son fabuleux dumping, dont les animaux de compagnie font souvent partie. Je sais, il y a pire que nous (en certaines cultures les gens mangent leurs chiens et leurs chats). Mais nous pourrions faire un effort pour nous améliorer…
Dans notre belle civilisation du jetable donc, malgré toutes les campagnes de sensibilisation, beaucoup de gens jettent encore leurs animaux après quelques semaines d’usage… Mais, il ne faut pas désespérer, il y en a qui ont appris.
Pour mieux comprendre que nos compagnons de voyage ne sont pas des
i-Pad, téléphones intelligents, jouets en plastique… c’est-à-dire, des objets de consommation jetables :
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2011/04/avant-dadopter-un-animal.html
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2011/08/aout-et-le-flush-off-animalier.html
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2011/08/mon-chien-est-mort.html
Le libellé : «Zoofriendly»
http://www.radio-canada.ca/emissions/animo/2013/
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http://artdanstout.blogspot.ca/2013/01/histoire-damour-amitie.html
Encore moi... Pour ma part, je lève la parole aux gens dont j'ai su qu'ils avaient abandonné des animaux. Car avec ces gens on ne peut pas discuter. Ils savent bien ce qu'ils ont fait et les raisonner ne sert à rien. Je les laisse avec leurs conscience si toutefois ils en ont une. Le pire c'est quand plus tard, il reprennent un autre animal qui connaîtra peut être le même sort.
RépondreEffacerMes 2 chiens étaient des défavorisés : l'un rencontré par hasard en fin 91 nous a été vendu... C'est mon mari qui l'avait acheté. Aujourd'hui, je ferai la leçon à ces profiteurs qui pour avoir acheté un maltais 55OO FR 2 ans auparavant le revendaient 25OO FR. Plus d'amour mais encore du profit...
Le 2ème dont je ne connais pas le passé, abandonné le jour de ses 4ans en 2OO4 avait connu 4Ojours de refuge.
C'est pas facile d'organiser des vacances avec 1 chien, je sais de quoi je parle : payer le train pour le chien, payer l'hôtel pour le chien. Si pas de voiture payer le service bagages à domicile SNCF car il faut aussi porter le chien. Ne pas oublier les affaires du chien ; la crainte qu'il aboie. Mais il faut penser à tout cela avant de prendre une bête.
Pas prudent aussi de prendre une bête quand on sait qu'en cas de problème personnel, on n'aura personne dans la famille ou le voisinage pour le faire garder.
Mais bon, au temps de l'individualisme et du "moi d'abord" que valent mes jérémiades.
Bonjour Liloutte,
RépondreEffacerIl n'y a pas de réflexion inutile. Vous avez tout à fait raison, tout découle du fait que les gens n'évaluent pas les responsabilités qui leur incombenront - autrement dit ils ne pensent pas plus loin que leur nez. J'avoue que ça m'indigne passablement.
Quand j'avais des animaux, j'acceptais spontanément de me priver de certaines activités et même de voyages. Mais je ne me sentais pas frustrée. La récompense (leur présence et leur amour) valait plus que l'effort pour ainsi dire :-) Je ne regrette rien.
De toute façon on ne peut pas regretter ce qu'on a manqué, car on ne saura jamais ce que c'était - ce ne sont que des projections ou des fantasmes dénués de réalité. Mes animaux étaient bien réels eux...
À une prochaine
Bonjour et mes excuses pour mes rapides entrées en matières parfois sans politesses d'ouverture. J'ai souvent l'impression avec les gens que j'estime (donc je vous estime) et mes proches que la conversation continue sans intermittence.
RépondreEffacerCet été s'est seule que je vais partir. Oh pas longtemps, juste pour me lever du centre de ma grande métropole. Je dis seule, car quand je partais avec les 7kgs de ROCKY je n'étais pas seule... Cette compagnie - si elle ne pouvait me défendre - représentait un départ avec un ami qui savait apprécier le bon air de la prairie, qui aimait la société et avait une bonne facilité d'adaptation. Tous nos loueurs admiraient sa tranquilité. Avec les années, je le ménageais dans ces séjours mais nous étions heureux au ralenti.
Je ne sais comment mon séjour va se passer, j'appréhende ma solitude dans les endroits que nous aimions, mais peut-être aussi que je vais pouvoir mesurer la chance que j'avais d'être avec lui.
Je repars loin en arrière lors d'une nuit où je n'étais pas arriver à sonder EMBLAIME car sa vessie avait basculé. Le véto de garde voulait l'euthanasier : "Vous vous rendez compte dit-il vous n'avez qu'un jour par semaine pour aller à un atelier d'écriture, le reste du temps vous vous sacrifiez pour rester avec votre bête... Un jour vous regarderez votre vie et vous vous direz "que de temps perdu".
Je lui répondis "du temps perdu avec certaines personnes qui n'en valaient pas la peine -oui- mais pour mon chien sûrement pas".
1O jours plus tard, les jours après la canicule de 2OO3 s'ajoutait un œdème pulmo. C'était un trop grand + pour lui. Il avait aussi depuis 6ans une hypothyroïdie. Je décidais l'euthanasie.
Que mes amours dorment en paix.
Bonjour,
EffacerQuand on aime, il n'ya pas de sacrifice; quand on n'aime pas, le sentiment d'obligation gâche tout, on est plus prêt de la corvée... pouah. Mais la vie vacille de l'un à l'autre, on n'y peut pas grand chose.
Bonne journée!