22 avril 2013

Condamnés à mourir dans la boue?

1 espèce vivante disparaît à toutes les 20 minutes,
ce qui représente un rythme de disparition
1000 fois plus important
que le rythme naturel constaté
lors des 10 millions d’années passées.

Nous commençons à peine à recenser les infinies espèces qui coexistent sur Terre. Pour cohabiter, il faut un équilibre; nous avons privilégié des espèces au mépris d'autres, et nous en payons la facture.

Dans le message «Ce que l’argent dévore», il était question des peuples en voie de disparition. J’ai pour mon dire que protéger les espèces animales et végétales est la meilleure manière de protéger l’espèce humaine, non pas l’inverse... Mais je doute de plus en plus qu’on veuille réellement préserver l'espèce humaine, à l’exception peut-être d’une masse critique d’élites dont les objectifs sont plutôt obscurs…

Comme le dit ce proverbe italien, «après la partie, le roi et les pions retournent dans la même boîte»… La Terre pourrait fort bien balancer l’humanité au cosmos – une potentialité concrète qui gronde sous nos pieds d’argile.

Alors, pourquoi un Jour de la Terre?

- Parce que nous refusons de nous engluer dans la boue noire, brune ou grise.

- Parce que nous voulons encore voir de la beauté, dans toute sa diversité et toutes ses couleurs.

Quelques exemples parmi des milliards de possibilités…

 
Sterne Inca, l'oiseau moustachu est menacé d’extinction en raison de la disparition des aires de nidification sur la côte du Pacifique, notamment au Pérou et au centre du Chili. Crédit photo : Versteroo   
 
  
 
 
Vous pouvez substituer la couleur de peau comme il vous plaira…
L’émotion et le sentiment exposés sont universels - on appelle ça "care".

 



La terre est une école qui sert à développer la conscience, l'empathie et la compassion, le respect et la coopération. Il faudrait que l'endroit reste viable, car certains auront peut-être besoin de refaire leurs classes...

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