Même si les symptômes varient d’un individu à l’autre, bon nombre d'entre eux sont globalement assez répandus.
Brusque changement de travail ou de carrière – un symptôme très commun. Lorsque nous changeons, notre environnement change aussi. Ne vous souciez pas de trouver le job parfait ou la carrière idéale pour l’instant. Vous êtes en transition et vous pourriez changer de job souvent avant de trouver celui qui comblera vos aspirations.
Manque de passion et de motivation. À certains moments, nous pouvons manquer de motivation, c’est-à-dire n’avoir aucun désir de passer à l’action. C'est correct. Profitez-en pour «ne rien faire». Ne résistez pas au phénomène car ça passera. Lorsque nous installons des logiciels sophistiqués, nous cessons toute activité pendant le téléchargement. Dans notre cas, il s’agit de l’énergie de notre essence. Les moments de silence et d’inactivité sont indispensables à l’assimilation.
Tristesse profonde sans motif particulier, et sensibilité exacerbée. Nous liquidons le passé (vie présente et vies antérieures) et cela ne peut que susciter de la tristesse. C'est comme lorsque nous quittons une maison où nous avons vécu très longtemps. Même si nous avons hâte d’emménager dans la nouvelle, nous éprouvons quand même de la tristesse en abandonnant nos souvenirs, nos expériences et l'énergie de l’ancienne.
Il est bénéfique de pleurer, les larmes contribuent à nettoyer les résidus d’émotions négatives. Nos émotions fluctuent en dents-de-scie en raison des nouvelles énergies qui éveillent empathie, bienveillance et compassion. Nous pleurons donc à tout propos, n’importe où et n’importe quand, par exemple lorsque nous sommes seuls en train de rouler en voiture ou de nous adonner à des tâches mécaniques. C’est un symptôme qui se produit par intermittence dépendant des énergies en présence.
Insomnie, sommeil très profond et léthargie. Nous pouvons systématiquement être incapables de dormir entre 2h00 et 4h00 durant plusieurs nuits consécutives. Pendant le sommeil nous accédons à des portails dimensionnels. Beaucoup de délestage de basse fréquence à un niveau subtil, mais nous ne pouvons pas y séjourner très longtemps car nous avons besoin de «respirer». Voilà pourquoi le retour brusque dans nos corps nous réveille. Si vous n’arrivez pas à vous rendormir, levez-vous et faites quelque chose de créatif plutôt que de rester couché à rêvasser à des choses futiles.
Lorsque la nouvelle énergie perd de son intensité nous entrons parfois dans une phase de léthargie, ou de repos, car il faut absorber les fréquences avant d’aborder la prochaine étape. Nous pouvons avoir de la difficulté à garder les yeux ouverts pendant la journée et avoir besoin de plusieurs siestes; c’est parfois une nécessité. Même si nous faisons de l’exercice en espérant récupérer un minimum d’énergie, il ne faut pas compter sur des résultats spectaculaires, car nous échouons sur le canapé au moindre effort. C’est temporaire.
Rêves vivides, dramatiques et parfois violents. Ceux-ci peuvent inclure des rêves de guerres, de batailles, de poursuites, des cauchemars, etc. Nous libérons des énergies du passé symbolisées par le vieux scénario attaque/défense/fuite.
Liquidation de karma. Les rêves nous permettent de pulvériser beaucoup d’énergie négative provenant de nos vies antérieures. Si vous êtes du genre à recevoir de l’information intuitive à travers les rêves, nul doute que vous libérerez beaucoup de matériel pendant le sommeil. Et si c’est le cas, vous êtes chanceux car certains font le travail à l’état de veille avec l’impression d’halluciner. Ces rêves semblent dénués de sens, mais si vous avez de la facilité à analyser les rêves vous pourrez les interpréter. Les rêves du genre «trip d’acide» signifient que ces énergies nous quittent pour de bon. Ce processus réduit toutes nos vies antérieures à néant.
Désorientation et perte de repères. Tout d’un coup, nous ne savons plus où nous sommes : «Où suis-je pour l’amour du ciel?!» «Je n’arrive pas à me caser nulle part et rien ne semble être à la bonne place! Je ne sais pas ce que je fais ici, ni où je vais, ni ce que je devrais faire!»
Reconnaissez-vous ce monologue? Il provient d’un décalage dimensionnel dû au fait que nous sommes dans une dimension intermédiaire. Nous avons abandonné plein de choses mais nous n’habitons pas encore notre nouvel espace à plein temps. En plus, le monde extérieur est loin de s’accorder à notre nouvelle fréquence.
Nous avons alors l’impression d’être sans ancrage (la tête ailleurs, dans «l'espace») et de ne pas avoir les deux pieds sur terre, ou d’être entre deux mondes. Très inconfortable… Durant la transition, le corps a de la difficulté à assimiler la nouvelle fréquence. Passer plus de temps dans la nature peut grandement nous aider.
Oubli de la signification des choses. Lorsque nous sommes dans une phase intense de transfert de fréquence, nous pouvons regarder une poubelle et nous demander à quoi cet objet peut bien servir. Nous devons fouiller notre vieille mémoire momentanément hors de portée. Nous vibrons dans un «espace» où les choses ne possèdent que la signification ou l'identité que nous leur attribuons. Dans les dimensions supérieures, l'énergie c’est simplement de l’énergie, sans étiquette ni signification. Tout est «frais», nouveau.
Perte de mémoire, difficulté à trouver ses mots. Nous sommes tellement nombreux, et de tous âges, à éprouver ce symptôme, qu’on ne peut qu’en rire. «J'étais en train de prendre un verre … de… tu sais ce que veux dire je… c’est blanc… voyons, comment ça s’appelle…» «Avez-vous regardé… heu… cette compétition dont tout le monde parle…» Parfois nous ne pouvons même pas participer à une conversation ordinaire. Le problème c’est que nous sommes entre deux paliers de fréquence et débranchés de la dimension terrestre. Un autre phénomène consiste à taper les lettres des mots en désordre, ce qui ne veut pas dire que nous sommes dyslexiques. Nous sommes déconnecté du temps linéaire parce qu’une part de notre énergie est ici tandis que l’autre se trouve simultanément dans une dimension supérieure. Ce ne sont pas des symptômes de la maladie d’Alzheimer non plus… ils sont courants pour tout le monde, quel que soit notre âge.
Dans les dimensions supérieures, la réalité se vit au «présent». Si nous cessons de maintenir une chose dans notre conscience, celle-ci cesse d'exister. À ces niveaux-là nous n'avons aucun attachement. Tout est «neuf» car nous créons au gré de notre fantaisie, d’instant en instant. Nous pouvons nous concentrer sur n’importe quoi et le manifester. Ces phases de la transition sont intermittentes. C’est une façon de nous familiariser au mode de vie des dimensions subtiles. L’effet est un peu bizarre. Parfois, nous ne sommes ni ici ni là-bas, plutôt dans un entre-deux.
Deuils relationnels. Nous sommes reliés à notre famille biologique en raison de vieux karmas. Lorsque nous débarquons du cycle karmique, les vieilles attaches relationnelles se rompent. Nous avons l’impression de nous détacher totalement de la famille et des amis. Après un certain temps, nous pouvons créer des rapports différents avec eux, si c’est approprié. Cependant, le lien sera composé de nouvelles énergies, et libre de tout attachement karmique.
Sentiment de solitude, même en présence d’autres personnes. Nous pouvons nous sentir seuls, coupés des autres, avoir envie de fuir les groupes et les foules. Le sentiment de solitude peut causer de l’anxiété et créer des difficultés de communication. Un sentiment d’abandon peut également émerger avec la disparition de nos anciens guides qui nous ont accompagnés durant tous nos voyages terrestres. Il est temps pour eux de partir et de nous laisser remplir ce vide avec l'amour et l'énergie de notre propre essence.
Besoin de relations significatives, de même fréquence. A contrario, l’isolement, ou même la solitude, peut nous rebuter car nous savons qu’il est temps de nous réunir. Dans les dimensions supérieures, il n’y a pas de séparation, tout est unifié. Et puis, plus notre fréquence augmente, plus nous recherchons compulsivement les connexions harmonieuses à tous les niveaux.
Désir profond de retourner au bercail. C'est l’un des aspects les plus difficiles du processus. Nous éprouvons un désir profond, voire primordial, de quitter la planète. Cela n’a rien à voir avec un désir de suicide émergeant de la colère ou de la frustration. Nous n’en parlons pas parce que nous ne voulons pas traumatiser notre entourage inutilement. Il y a un aspect de nous tout à fait paisible et cohérent qui veut retourner au bercail. La raison en est simple. Nous avons terminé notre cycle karmique, rempli nos contrats, incluant ceux de la vie présente. Nous sommes prêts à commencer une nouvelle vie.
Pendant le processus de transition, nous commençons à nous souvenir (certains n’ont pas oublié…) de la vie de l'autre côté du voile. «Suis-je prêt à m’enrôler pour un autre tour de piste sur terre? Suis-je prêt à faire face aux défis que représente l’intégration de ces nouvelles fréquences?»
Nous pourrions, en effet, rentrer au bercail dès maintenant. Mais nous venons de loin, et après avoir passé tant de vies ici, il serait dommage de partir avant la fin du film. En outre, l'Esprit a besoin de nous, ici-bas, car le chemin que nous parcourons en ce moment fournit les expériences nécessaires pour enseigner à ceux qui suivent. Malgré la solitude, et même si le voyage semble parfois obscur, nous ne sommes jamais seuls.
Dialogue intérieur. Nous dialoguons plus souvent avec notre «alter ego». Une nouvelle forme de communication s’établie avec notre être profond. Ce dialogue deviendra de plus en plus limpide, cohérent et intuitif. Rassurez-vous, vous n’êtes pas en train de disjoncter, mais plutôt de modifier le filage de vos circuits cérébraux pour éviter qu’ils ne sautent lorsque la lumière se mettra à circuler à pleine capacité…
Impression d’être «hors» de son corps. Le corps physique est toujours le dernier à assimiler étant donné la lenteur de sa fréquence vibratoire. Plusieurs d’entre nous habitent déjà simultanément une dimension où le corps physique n’a pas accès, en raison de sa densité énergétique.
Perte identitaire. Nous nous regardons dans le miroir avec le sentiment étrange de ne pas reconnaître l’image familière à laquelle nous nous identifions. Nous avons presque l’impression d’être hors de notre corps. C’est un phénomène qui ne fera que croître. Nous avons balancé plusieurs caractéristiques identitaires de l’ego de sorte que nous ne sommes plus la même personne. Comme nous fréquentons de plus en plus notre essence, nous sommes de moins en moins ancrés dans la matière. Nous utilisons encore notre voix pour communiquer, ainsi que d'autres fonctions biologiques, mais nous commençons lentement le processus de désintégration en vue de nous libérer de la forme humaine. En outre, nous incorporons beaucoup plus de lumière, et il est normal qu’une version épurée de nous-mêmes se dessine. C’est sans danger et même souhaitable.
Maux et douleurs physiques (cou, épaules et dos); palpitations cardiaques. Ceux-ci résultent des changements intenses qui se produisent au niveau de l'ADN spirituel car la «semence divine» commence à germer.
Ces symptômes sont communs chez plusieurs. Notre cœur essaie de s'adapter à la nouvelle fréquence. Nous devons nous reposer souvent car le moindre effort stresse le cœur déjà surchargé. En outre, lorsqu’une pensée négative ou une peur monte, le cœur s’emballe et va jusqu’à cesser de battre. Ce peut être assez affolant, même si l’électrocardiogramme n’indique aucune anomalie. Les symptômes finissent par disparaître.
Transpiration abondante. Durant certaines phases de la transition le corps peut décider tout d’un coup de «brûler» nos énergies plus denses. Nous pouvons nous réveiller complètement trempés au beau milieu de la nuit ou suer à grosses gouttes alors qu’il fait froid dehors – ce n’est pas dû à la ménopause ou à l’andropause, cela se produit à tous âges.
Frilosité. A contrario, basculer dans une dimension de fréquence supérieure peut littéralement nous congeler; c’est une autre caractéristique de détoxication. Prendre un bain chaud et s’enrouler dans un édredon peut aider.
Troubles de vision. Nos yeux s'ajustent pour capter les énergies subtiles des dimensions supérieures. Le centre ajna – troisième œil – cherche à s’ouvrir davantage.
«Voir» ou «entendre» des choses. Lorsque nous pouvons passer plus facilement en diverses dimensions, il est commun d’entendre des choses «physiquement inaudibles» et de voir du coin de l’œil des énergies «invisibles» se mouvoir. Certains entendent également une sonnerie dans l’oreille interne – un son courant lorsque nous traversons le «tunnel» d’accès à une dimension supérieure. Dépendant de notre sensibilité et de la façon dont nous sommes «branchés», cela peut devenir une expérience habituelle.
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Les choses ont évolué depuis 2008; si vous voulez lire les mises à jour de Karen Bishop - en anglais :
http://spiritlibrary.com/karen-bishop
http://spiritlibrary.com/whats-up-on-planet-earth/current-ascension-symptoms-tools-for-comfort-part-1
http://www.whatsuponplanetearth.com/latest.htm
COMMENTAIRE
Autres phénomènes que j'ai notés :
- Accélération troublante du temps – de sorte que nous n’avons pas le choix de nous concentrer sur l’essentiel et de laisser tomber la périphérie.
- Indécision. Nous avons l’impression que notre volonté personnelle et notre détermination battent de l’aile. L’anarchie émotionnelle fait en sorte que nous changeons d’idée du jour au lendemain. Nous avons tendance à résilier subitement toute forme d’engagement par manque d’intérêt. En conséquence, nous sommes peu fiables mais ce n’est pas parce que nous souffrons de TDA (trouble de déficit d’attention). En réalité, nous avons besoin d’exprimer notre créativité de façon constructive et ça devient un sine qua non.
- Le swing émotionnel : il bat des records…
Parmi mes expériences, il y en une qui m’avait emballée il y a une douzaine d’années. J’étais en train de vaquer à des occupations anodines, quand tout à coup j’ai eu l’impression de flotter à quelques centimètres du sol, comme en état d’apesanteur. Je ne ressentais aucun poids, aucune lourdeur, aucun malaise physique. Pourtant mes pieds touchaient le sol et je continuais mon train-train. Un rêve! C’est arrivé à quelques reprises, et puis plus rien; j’aurais bien aimé que ça perdure. Était-ce un avant-goût des corps plus «légers» que nous aurons après avoir transité? Qui sait.
En conclusion, devrions-nous avoir peur d’envisager une alternative au mode de vie terrestre, de rêver, d’imaginer d’autres scénarios? Devrions-nous avoir peur d’abandonner notre conception dinosaurienne de la vie et de nous créer des véhicules d’expression appropriés à notre niveau d’évolution?
Du dinosaure – au singe – à l’humain – à …….. ???
Lectures complémentaires :
http://situationplanetaire.blogspot.com/2011/05/etats-de-conscience-transitoires.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2011/05/le-vide-transitoire.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/08/la-peur-du-vide.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/08/detachement.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2011/01/le-non-attachement-1.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2011/01/le-non-attachement-2.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/10/le-passe.html http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/10/le-present-du-present.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/10/la-synchronicite.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/11/illogisme.html http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/12/swing-emotionnel.html
http://situationplanetaire.blogspot.com/2010/09/intuition-et-creativite.html
Et le blog connexe «Air Karma» : la robotique humaine entre autres.
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