«L’Ébola
donne un nom au bioterrorisme. Avant on pensait seulement à contagion, hot zone, mais là, je pense que c’est un peu la réalité qui a
rattrapé la fiction.» ~ Dr Joanne Liu, présidente de Médecins sans
frontières international
«Votre cheminement exceptionnel prouve que la
meilleure place pour un médecin n’est pas à l’Assemblée nationale, mais avec
les malades!» ~ Dany Turcotte
(Source : «Tout le monde en parle»,12 octobre
2014; ICI Radio Canada)
Enfin un médecin qui ose parler des vraies affaires!
Je suis toujours renversée d’entendre des journalistes
«officiels» ou le Commun des mortels se pâmer dès qu’il est question de «théorie
du complot», et qui qualifient ceux qui en parlent de paranoïaques. «Ils n’ont
pas les yeux en face des trous» comme dit l’adage.
Car
qu’est-ce qu’un conflit, une guerre, sinon un complot pour s’approprier le bien d’autrui et/ou tuer de prétendus
ennemis? Qu’est-ce qui empêche une nation d’enfouir des bombes en territoire
convoité et de les faire détonner à distance éventuellement? Nous avons des
drones capables de bombarder des cibles à l’autre bout du monde en deux secondes par
commande à distance. Et qu’est-ce qui empêche une nation de propager des virus
et des bactéries indétectables, invisibles? Rien. Et, la mondialisation
fournit d’immenses opportunités. J’aimerais qu’un biochimiste m’explique
comment on peut créer un barrage contre
des virus et bactéries qui se transmettent d’humain à humain? Aille-oille.
Quand j’ai lu Filterman en 1999 (1) – je refusais de croire, comme beaucoup de monde, que des
scénarios aussi invraisemblables et diaboliques puissent exister. Or en
feuilletant l’ouvrage aujourd’hui, je réalise que plusieurs choses se sont concrétisées
et que d’autres sont en voie de l’être. Les théories et hypothèses dont il est
question ci-après font désormais partie de notre réalité quotidienne planétaire.
Avertissement de l’auteur :
Les informations divulguées dans ce livre
proviennent de la presse spécialisée, de sources gouvernementales et militaires
dûment autorisées, surtout américaines. Des dispositifs permettant d’interférer
avec le métabolisme humain ont été réalisés dans le but de le neutraliser. Il
en est de même pour les mécanismes de la nature. Ces systèmes ont été
développés comme arme de nouvelle génération. Pendant que d’autres effectuent des recherches très poussées dans ces domaines,
notre élite semble ne pas s’en préoccuper. On court le risque de se retrouver
un jour ou l’autre exposé à des menaces inconnues et non prévues, devant
lesquelles nous ne saurons pas comment réagir. Les informations publiées ici doivent donc être considérées comme un
avertissement, un appel au monde politique et aux populations.
Photo via La Presse
La guerre bactériologique
(Qu’on appelle
maintenant bioterrorisme)
Bien que l’écologie passe au second plan pour des
raisons économiques, les gouvernements ont fini par en prendre conscience, non
pas pour des raisons de santé publique, mais parce que les déchets industriels
toxiques pouvaient entrer dans la composition d’armes chimiques terroristes.
Par exemple certaines multinationales qui trouvaient les coûts de destruction
de ces matières dangereuses trop élevés, s’en débarrassaient sur le territoire
libanais, précisément dans les années 85/95. Non seulement ils empoisonnaient
la population locale mais ils fournissaient de plus à domicile toutes sortes de
substances chimiques ou toxiques qui peuvent très bien être utilisées pour
réaliser des bombes et attentats chimiques. Il y a aussi de nombreux dépotoirs, clandestins ou non, à travers le monde.
C’est un moyen comme un autre pour se procurer les substances nécessaires.
Produits d’entretien, engrais, insecticides, et produits d’origine
pharmaceutique peuvent suffire à réaliser de telles armes simplement en les achetant
tout à fait légalement dans une grande surface.
Si en plus on doit faire le bilan des
dizaines de milliers de tonnes d’armes chimiques que chaque pays a «détruites,
pardon, jetées à la mer» au mépris des lois de la nature, c’est une autre forme
de guerre que nous serons obligés de livrer un jour. Il faut savoir que des
obus et roquettes sont envoyés par-dessus à l’état brut avec leur charge
chimique. Lorsque l’eau de mer aura corrodé l’enveloppe, on se retrouvera avec
des produits toxiques dans l’eau, qui éventuellement remonteront à la surface
ou intoxiqueront des poissons que l’on risque de consommer par la suite. Ne
parlons pas des sous-marins qui ont coulé avec leurs missiles et ogives
nucléaires.
En
temps de guerre les champs de bataille sont inondés avec des micro-ondes
destinés aux moyens de communication et de détection de très forte puissance,
comme les radars. Or ce magma de champs électromagnétiques influence le
matériel biologique et le métabolisme humain. On peut déjà détecter des effets sur
les cellules avec l’équivalent de ce que dégage le téléphone portable. Les
micro-ondes pulsées perturbent le système immunitaire.
Qui
plus est, certains médicaments soumis à un champ électromagnétique intense
peuvent donner naissance à des radicaux
libres ou toxines et devenir mortels à moyen terme. On assiste à des
modifications des liaisons chimiques qui ne se produiraient pas sur un champ de
bataille dépourvu de structures radioélectriques. Pour les mêmes causes, les armes bactériologiques, si elles sont
utilisées en présence d’un radar, peuvent donner des virus mutants virulents,
rendant du même coup inutilisables les antidotes et vaccins de l’agresseur.
Parmi
les principaux émetteurs de micro-ondes pulsées, citons la téléphonie cellulaire
mobile, les radars ou même les champs électriques intenses des lignes EDF. Tous
les systèmes de communication TDMA – AMRT – et AMRF présentent un cycle
répétitif qui interférera obligatoirement avec une des composantes cellulaires
du métabolisme humain. Les émetteurs télé du fait du balayage ligne-image, ou
pire encore la télé numérique, présentent eux aussi des cycles répétitifs,
nocifs pour la santé. Des rapports militaires et scientifiques spécifient que
les ondes pulsées augmentent le stress chez les individus et diminuent la
résistance du système immunitaire.
On
pourrait très bien imaginer un système d’arme à micro-ondes capable d’activer
des virus ou toxines mortels pour neutraliser les troupes au sol. Les
techniques aujourd’hui disponibles permettent ce type d’exploit.
La
prise de conscience par les États européens a pris naissance avec l’arsenal que
l’Irak s’était constitué. L’arme bactériologique est particulièrement discrète
et facile à fabriquer. Le tout repose sur des bactéries ou virus provenant de
vaccins, réactivés pour générer des épidémies virulentes et mortelles.
Il faut distinguer les virus des bactéries.
Rappelons qu’un virus est 100 fois plus moins gros qu’une bactérie. Le problème,
c’est que toutes ces substances sont
incontrôlables en raison de leur taille. Elles peuvent être dissimulées
dans une éprouvette ou même une recharge de stylo, alors qu’elles sont
particulièrement nocives.
Tous
les pays ont participé pour des raisons économiques à la dispersion d’un
matériel bactériologique très important à travers la planète. Si les Américains
ont voulu faire continuer les recherches en Irak, après que les inspecteurs de
l’ONU aient pourtant inspecté tous les sites, c’est parce qu’ils savaient ce
qu’ils avaient vendu à ce pays, et qui n’avait pas été retrouvé. Voilà la vraie
raison qu’ils n’ont jamais dévoilée. Ils n’étaient pas les seuls, les pays
d’Europe ont participé à équiper l’Irak…
L’inconvénient des substances destinées à
réaliser ces armes bactériologiques, c’est qu’elles peuvent se retourner contre
leurs créateurs, utilisateurs ou fournisseurs. Chaque année en Europe, à
l’approche d’hiver, on est confronté à un nouveau type de grippe. Une année
elle est espagnole, puis anglaise, italienne, chinoise, etc. On peut se poser
la question si des laboratoires pharmaceutiques n’ont pas créé des virus
mutants à partir de souches initiales avant de les disperser dans la nature?
Dans quel but? L’argent bien sûr; en fabriquant et en vendant des centaines de
milliers de vaccins le trésor de guerre se chiffre en milliards de francs. Les
services secrets comme la DST ne se sont-ils jamais posé la question, et ne
sont-ils pas arrivés à la conclusion que certains virus retrouvés dans le métro
étaient des fabrications de laboratoire?
Utilisée par une nation étrangère à des fins de guerre économique, cette
arme aurait des conséquences désastreuses. Que devient un pays si tous ses
travailleurs sont malades, si son industrie est stoppée, sans parler du gouffre
de la sécurité sociale
Efficacité
des différentes armes
* Une arme
chimique de 300 kg tuerait environ 3000 personnes.
* Une arme
nucléaire de 200 kg tuerait 40 000 personnes.
* 30
grammes d’anthrax sur une ville tuerait 200 000 personnes.
* Une arme
contenant une ogive de 30 kg d’anthrax tuerait 5 millions de personnes dans une grande ville.
* À partir
d’une solution de base, en 12 heures de fermentation on obtient 100 milliards
de bactéries capables d’anéantir 10 millions d’individus.
Le
secret de l’efficacité d’une telle arme réside dans son mode de dispersion. Il
n’est pas nécessaire de rentrer dans les détails et de donner des idées. Il
faut préciser que même la destruction d’un véhicule porteur d’un obus n’est pas
une solution, et en vérité il n’y en a aucune. (…) Même les vaccinations
utilisées lors de la guerre du Golfe ont eu une efficacité douteuse, provoquant
parfois des effets secondaires imprévus encore plus nocifs. (…)
Un
traité fut signé en 1972, mais tout le monde continue ses recherches, et nous
pouvons même affirmer, aujourd’hui plus encore qu’avant. (…)
Les
chercheurs japonais du camp 731 en Mandchourie avaient imaginé d’utiliser les
insectes comme les mouches, les moustiques comme vecteur propagateur. Mais
n’oublions pas que dans ce type de guerre, l’arroseur peut être l’arrosé. En
clair, utiliser cette arme ou la détruire en bombardant des arsenaux
bactériologiques peut se retourner contre l’opérateur. En effet les vents
dominants peuvent faire voyager certains germes et toxines à travers toute la
planète. D’autres, par contre, ne survivent pas dans l’air, et deviennent
inopérants au bout de quelques dizaines de minutes.
(…)
Unités
spéciales en bactériologie. Même si les gouvernements ont signé des accords
internationaux sur les armes utilisant ces substances, il ne faut pas croire
que les recherches ont été totalement stoppées. Ces laboratoires sont de niveau
T4 et ont systématiquement doublé, car habilités à traiter des virus de niveau
IV, c’est-à-dire les plus dangereux – et certains ne sont pas maîtrisables. Le
seul moyen possible pour les faire disparaître en zone ambiante, est la suppression
des «hôtes» humains et animaux.
Les
virologues de ces laboratoires sont appelés «cowboys» et interviennent toujours
par deux. La décontamination s’effectue par des séries de douches chimiques de
plusieurs types et des expositions à des bains d’ultraviolets. Dans les pays
d’Afrique, on ne se contente que de chaux vive. Le niveau de pression dans ces
laboratoires est différent de celui qu’on trouve ailleurs ( afin d’éviter tous
risques de fuites). Le matériel qui entre, même informatique, n’en sort jamais.
Il est condamné à rester à l’intérieur, même en cas de panne. De plus on n’est
jamais certain qu’une toxine chimique, ou une bactérie, ne s’attaquera pas un
jour aux joints, qu’ils soient en caoutchouc ou même en métal. Les militaires
américains et d’autres, sont en effet les premiers à rechercher des virus
capables d’attaquer les métaux comme le cuivre, l’or, le fer, et même les
fibres optiques, ou les diverses variété de plastique et de caoutchouc. Le
risque est qu’un jour ils perdent le contrôle de l’une de ces substances, et
qu’il en résulte une catastrophe planétaire. Imaginons une bactérie gloutonne
de cuivre, se propageant à travers des milliers de kilomètres de câbles
téléphoniques et informatiques, ce serait la fin de notre ère technologique.
Traitement
de l’eau. Même les centres civils de traitement des boues et des eaux usées
peuvent être stratégiques.
Sur tous les fleuves dotés d’une industrie
lourde, on trouve tous les éléments polluants imaginables. Quand on traite
l’eau pour la rendre potable, les fournisseurs sont confrontés à toutes sortes
de substances à éliminer, le plus souvent par l’utilisation de bac de
décantation et par filtrage. Parfois on est dans l’obligation d’utiliser des
bactéries pour détruire des substances nocives, chimiques, des métaux lourds ou
encore des boues radioactives. Dans les laboratoires on recherche toujours des
bactéries capables de dévorer ces éléments toxiques.
SIDA, HIV
Ébola. Plusieurs chercheurs ont pensé qu’il s’agissait de virus fabriqués
par l’homme. Bizarrement on est obligé
de constater que ces maladies contournent le système immunitaire, procédé que
précisément tous les laboratoires de guerre bactériologique cherchaient à
mettre au point. Malheureusement il semblerait que les créateurs aient perdu le
contrôle de leur création, à moins que cela n’ait été réalisé intentionnellement.
Dans quel but ces maladies auraient-elles été créées?
Trois
hypothèses sont possibles :
* L’élimination des classes sociales qui ne
répondraient pas à des critères spécifiques.
* Le contrôle démographique de la population de la
planète.
* L’utilisation lors d’un conflit pour rendre
inopérantes les troupes adverses.
La conclusion qui s’impose c’est que jamais on ne
mettra un terme aux guerres ni aux virus ou aux maladies, car l’objectif des
organisations secrètes est probablement le contrôle démographique des
populations, notamment à travers les manipulations génétiques, les organismes
génétiquement modifiés et la guerre bactériologique.
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(1) Les
armes de l’ombre, MARC FILTERMAN; Éditions Carnot, coll. Cicéron
(1999). Marc Filterman a acquis son premier radar en 1976.
Il a quitté l’armée en 1985 pour se consacrer à des recherches sur
l’électronique de défense.