Comme un mandala, l’homme rayonnait à partir de son centre sacré.
Le mot sanskrit mandala signifie cercle, et par extension, sphère, environnement, communauté. Le symbole se dessine toujours du centre vers l’extérieur.
Plus nous fonctionnons au niveau de l’âme, plus nous sommes conscients du processus évolutionnaire de l’humanité, plus nous sommes conscients que nous ne sommes pas de petits individus isolés du reste du monde, plus nous sommes conscients du rôle que nous jouons. Et à mesure que nous évoluons, il peut y avoir conflit entre le passé et le futur, entre l’ancien et le nouveau. L'histoire offre d'innombrables exemples de résistance et d'opposition violente à chaque fois qu’une nouvelle lumière apparaît sur terre. Les autorités représentant l'ancienne mentalité s'opposent toujours à la nouvelle lumière. Socrate a été forcé de boire la ciguë. Le premier médecin qui suggéra au personnel infirmier de se laver les mains entre chaque patient fut mis à la porte de l'établissement médical (on le disait fou). Nelson Mandela a passé des années en prison. Et la liste pourrait s’allonger indéfiniment.
Pour prouver ce qui précède, un journaliste mentionnait ce matin que les États-Unis ont retiré le nom de Nelson Mandela de la liste des terroristes en 2008 (sous le mandat de Bush fils).
Nelson Mandela fut et reste une lumière.
Tous les gouvernants font l’éloge de sa droiture et disent s’en inspirer.
Mais, comme le dit l’aphorisme «beaucoup d’appelés, mais peu d’élus».
Mandela avait aussi les deux pieds sur terre :
il disait ce qu’il faisait et faisait ce qu’il disait.
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