7 novembre 2012

Atchoum!

À l'heure de la vaccination : avec ou sans vaccination, certains attraperont la grippe et d’autres non…

Une perception différente de ces maux répandus :  

RHUME

Quand le milieu ambiant (famille, travail, ami, voisin) vous «refroidit» car quelque chose ne vous plait pas, vous prenez froid, le nez se bouche pour ne plus rien sentir, la tête se gonfle, et le rhume s’installe. Grâce à lui vous pouvez mettre une barrière médicale entre vous et les Autres… le temps d’un rhume. Triste, vous avez trouvé la possibilité de vous retourner vers votre Moi.
       Un rhume qui ne s’arrête plus exprime les cent fatigues morales d’une assimilation de la vie et des choses qui se fait mal.
       Guérir un rhume par la force des cachets c’est refouler le mal intérieur, mieux vaut le laisser se déchainer pour libérer les miasmes accumulés. Ceux-ci évaporés, votre «nez» vous redonnera le flair pour opérer des changements d’attitude dans l’entourage.

GRIPPE

La grippe commence par de la fièvre, ou un état fiévreux qui donne un malaise général. «Rien ne va plus.» Il faut, pour un temps, ralentir le rythme, se dorloter, s’occuper de soi même si cela ne plaît pas, et au bout de quelques jours tout rentre dans l’ordre. Le corps en sort très fatigué.
       Pourquoi craindre la grippe? Elle libère, par la fièvre qu’elle provoque, des miasmes qui ne pourraient pas sortir autrement. Et vous ne l’«attrapez» que si vous êtes prédisposé à ce moment-là, à l’image d’une allumette qui ne prend feu que si on l’échauffe.

BRONCHITE

La bronchite, pour la Chine*, est classée comme une maladie à glaires, ceux-ci étant le résultat de pensées néfastes qui digèrent mal la vie et ne l’expriment pas verbalement.
       Avant que la bronchite ne se déclare, le personne perd peu à peu le gout de la vie, n’y trouve plus de saveur, a une vision assombrie des êtres ou des choses, «elle ne communique plus avec le Ciel». Son attitude intérieure est celle d’une grande lassitude avec découragement. Elle ne possède pas ce qu’elle désire et ne le dit pas.
      Elle néglige de cultiver le «Temple de son âme» et ne goute pas la saveur de la vie qui pourrait l’aider.
      Si elle ne veut pas que la bronchite devienne chronique, elle doit opérer une mutation dans sa façon de voir la vie. Qu’elle se fasse aider par la vue des arbres et de l’herbe, qu’elle médite dans le silence devant un paysage où des montagnes se profilent dans le lointain et dans la brume : ainsi elle se dégagera de sa lassitude découragée.

«Soigner le corps éthérique* avant que le corps humain ne tombe malade est une médecine asiatique* qui remonte à la plus haute antiquité. Elle est celle des Sages et des Mandarins : elle demande un contrôle de soi permanent pour apaiser les pensées et permettre à l’âme de prendre le pas sur le corps instinctif.» ~ Palma de Mallorca, octobre 1984

Pour une médecine de l’âme
Marguerite de Surany  
Guy Trédaniel Éditeur, 1987

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* En référence à l’acupuncture chinoise qui traite les pathologies et pathogénies énergétiques (circulation du chi dans les réseaux subtils du corps).

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Si rire ne vous fait pas tousser plus, c’est un bon remède… 
 

J’me prépare à rencontrer le nouveau chien
[Preparing to meet the new dog]

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