26 avril 2016

Un futur sans eau potable ni terres arables?



Penelope Cruz personnifie l’eau
WATER
Nature Is Speaking
Conservation International (CI)
http://www.conservation.org/nature-is-speaking/Pages/default.aspx

Commentaire d’un internaute : “What they don't understand is that the ones in power are preparing for the time the world dies, relying solely on artificial life, and controlled livestock. They are already working on it. This is why they are distracting the masses with this thing called "life". No one will be able to grow their own food. For those people who will "run off into the forest" – there will be no forest. No animals. For those people who will go with the flow – what if you’re not worthy enough to eat in their eyes? The food will be controlled by one governing force. This is when freewill won't exist anymore – there will always be free radicals, of course. We don't want to get that far. Some of us are ready to fight, protect, and go down screaming if necessary.” ~ Colin Williamson



Edward Norton personnifie le sol
SOIL
Nature Is Speaking
Conservation International (CI)

Comme on le dit dans le documentaire Tout peut changer : «La lutte se joue entre le capitalisme extrême et le climat. La terre a ses limites et c’est ce qui nous obligera à changer. Emparons-nous de cette crise systématique et climatique profonde qui secoue le monde afin de transformer notre système économique défaillant en quelque chose de radicalement mieux.» (Inspiré du livre de Naomi Klein, disponible en ce moment sur ici.tou.tv Radio-Canada)

La contestation et la pression viennent de plus en plus de ceux qu'on appelle les environnementalistes pauvres touchés par les tentatives de mise à sac de leurs habitats. Cela s’est fait à Halkidiki en Grèce, dans la province de Pradesh en Inde et à Powder River au Montana. En Alberta, même les non autochtones commencent à voir Fort McMurray d’un autre œil : «C’est barbare», dit un travailleur albertin. «Pas besoin de réfléchir longtemps pour le constater. Je ne dis pas qu’il faut fermer demain matin, j’ai beaucoup d’amis qui travaillent là et ce serait terrible. Mais il faut absolument faire la transition. On déplore les pertes d’emplois, mais tous ces ouvriers pourraient être réaffectés à la fabrication et à l’installation d’éoliennes, de panneaux solaires, etc. Il n’y a aucune raison valable de ne pas le faire.» Par contre, il y a aussi beaucoup de jeunes travailleurs cupides et irresponsables, gagnant quelque 4000 $ par semaine, qui se fichent totalement des impacts destructeurs du lieu. Un travailleur est retourné dans son patelin après 5 ans, avec un million de dollars en poche. Fast money, man...

Évidemment, les industriels néolibéralistes et les climato-sceptiques honnissent Naomi Klein qu’ils traitent de marxiste-léniniste. «Que Dieu bénisse le charbon et le sable bitumineux!» s'exclament-ils. En réalité, ils craignent que leur système s’écroule si jamais une majorité de gens effectuait un vrai virage.

À voir ou revoir à l’heure des Panama PapersLe prix à payer 1 et 2 -- L’évasion fiscale est un mal qui gangrène sérieusement les revenus des États. La majorité des grandes entreprises auraient goûté le fruit de l’optimisation fiscale et s’y adonneraient toujours. Découvrirez comment fonctionne cette mécanique immorale et bien huilée.

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