Les
humains s’espionnent et s’entretuent depuis l’aube des temps, soit pour
s’emparer des biens d’autrui soit pour protéger leurs biens contre des
envahisseurs. Rien de nouveau. Cependant, aujourd’hui, en vertu des nouvelles
technologies, nous sommes tous traqués, photographiés, filmés, fichés,
catégorisés et étiquetés à notre insu et conséquemment sans notre consentement. Les géants du
web voient les humains comme des imbéciles totalement manipulables. Parfois je
pense qu’ils n’ont pas tort.
Image :
Shonagh Rae (via The Guardian, article sur le populisme)
Le
gouvernement fédéral craint une possible intrusion soviétique pendant la
campagne électorale canadienne (1), mais la Russie ne sera pas la seule grande puissance à
essayer d’influencer l’électorat; les États-Unis et la Chine vont sûrement
s’immiscer dans le jeu.
Au
Canada, l’ingérence politique et financière chinoise prend de l’expansion,
notamment avec la présence du réseau de
télécommunication 5G de Huawei – ça ne fait pas de bruit... «Les Chinois y causent pas de trouble. Y font
pas de bruit, on les entend pas marcher, pis y parlent pas», disait
l’humoriste Yvon Deschamps dans les années 70.
Mais les choses ont changé. Le péril jaune
tel que conçu au 19e et 20e siècle laissait supposer que les peuples d’Asie
allaient surpasser les Blancs et gouverner le monde. C’est apparemment
l’objectif de Xi Jinping. On peut donc s’interroger sur le genre de chantage qui
a pesé sur nos conseils de ministres fédéraux et provinciaux pour qu’ils
ouvrent la porte toute grande aux investisseurs chinois. L’ingérence américaine
ne leur suffisait pas?
Si l’on tient compte des révélations
d’Edward Snowden sur la NSA, on peut en déduire que Huawei suit le même pattern
de surveillance et d’espionnage numérique. Il n’y a aucune raison de faire
confiance à des entreprises de télécommunication – américaines et chinoises – dépourvues
d’éthique qui s’adonnent à l’espionnage citoyen, gouvernemental et industriel en
vue de contrôler le monde.
«Argent,
pouvoir et intrigue politique internationale», résumait Jason Proctor en
parlant de l’affaire Meng Wanzhou / Huawei (CBC News, 12 décembre 2018) :
Everything
you need to know about Huawei, Meng Wanzhou and her possible extradition
The 46-year-old is also known as Cathy or Sabrina
Meng. She lives in Shenzhen, China. She is the daughter of Ren Zhengfei, who
founded Huawei technologies in 1987. According to U.S. prosecutors, Meng's
father is the world's 83rd richest person. His net worth is $3.2 billion US.
Crown lawyers
describe Huawei as the world's largest telecommunications company. The firm
employs 180,000 people in more than 170 countries and regions worldwide,
including more than 700 people in Canada. According to its 2017 annual report,
Huawei generated over $90 billion US in revenue last year and $7 billion US in
net profits. The company is currently poised to take advantage of the global
roll out of 5G – or fifth generation – cellular wireless technology.
Meng and her
husband own two homes in Vancouver, worth a combined $22 million. She was also
once a permanent resident. Her children used to live in Vancouver during the
school year, and the family still visits for several weeks every summer. Her
in-laws typically stay in one of their Vancouver homes for multiple months each
summer. [...]
Huawei, les États-Unis et les
pressions sur le Canada
Raphaël
Bouvier-Auclair | ICI Radio-Canada Nouvelle | 29 janvier 2019
[...] «Nous
devons considérer les risques que présenterait la présence de Huawei dans nos
infrastructures de télécommunication», a déclaré le grand patron du FBI, qui a
aussi confirmé que Huawei était accusé d’espionnage industriel.
Washington a déjà agi en ce sens, excluant
Huawei du développement du réseau 5G sur le territoire américain.
Dans ce domaine, des entreprises américaines
sont évidemment en pleine compétition avec les géants chinois de la
télécommunication, comme Huawei, mais aussi ZTE, qui eux aussi tentent de
s’implanter un peu partout sur la planète. Il y a quelques jours, le New York
Times écrivait par exemple que la lutte
pour le contrôle du marché de la 5G est «une nouvelle course à l’armement».
Pendant le point de presse confirmant le
dépôt d'accusations contre Huawei et sa directrice financière, lundi, le
procureur général par intérim Matthew Whitaker n'a pas manqué de souligner la
collaboration du Canada dans l'arrestation de Meng Wanzhou qui, avec son
entreprise, fait l’objet de nombreux chefs d’accusation, dont fraude et
blanchiment d’argent.
Si la position américaine est claire, celle
de Pékin l’est aussi. Plus tôt ce mois-ci, l’ambassadeur chinois à Ottawa avait
averti qu’il y aurait des «répercussions» potentielles si le Canada interdisait
à Huawei de participer au réseau 5G sur son territoire.
Depuis près de deux mois, le Canada se trouve
au centre d’un conflit entre géants, dont il pourrait subir les contrecoups
encore longtemps, peut-être même au-delà du processus d’extradition de Meng Wanzhou.
Au moment où une délégation chinoise arrive
dans la capitale américaine pour participer aux négociations qui pourraient
mettre fin à la guerre commerciale que se livrent les deux pays, Washington
juge peut-être préférable que ce soit le Canada, et non les États-Unis, qui
soient dans la mire de Pékin.
Article
intégral :
Washington demande formellement à
Ottawa d'extrader Meng Wanzhou
Sophie-Hélène
Lebeuf | ICI Radio-Canada Nouvelle | 28 janvier 2019
Les
États-Unis ont déposé formellement 23 chefs d'accusation contre le géant
chinois des technologies Huawei et sa directrice financière, Meng Wanzhou,
arrêtée au Canada en décembre dernier. Le ministère canadien de la Justice a
confirmé lundi soir que les autorités américaines avaient officiellement
réclamé son extradition.
Photo:
Reuters / Alexander Bibik. La directrice financière de Huawei, Meng Wanzhou, a
été arrêtée le 1er décembre 2018 lors d'une escale à l'aéroport de Vancouver.
En point de
presse, lundi, le procureur général des États-Unis par intérim, Matthew
Whitaker, a inculpé Huawei Technologies, dont le siège social est en Chine,
trois de ses filiales, Huawei Device, Huawei Device USA et Skycom Tech, ainsi
que Meng Wanzhou dans deux dossiers distincts : violation des sanctions contre
l'Iran et vol de secrets commerciaux. [...]
Acteur discret sur le marché canadien des téléphones intelligents, Huawei occupe toutefois une position de
choix en matière d'équipements de télécommunications. Huawei a toujours été un
important fournisseur d'équipements pour l'industrie canadienne des
télécommunications et le gouvernement fédéral.
Considérée comme une menace à la sécurité non
seulement par les États-Unis, mais aussi par plusieurs autres alliés du Canada,
l'entreprise fabrique des téléphones intelligents pour les réseaux sans fil
actuels vendus au Canada par Bell, Rogers, Telus et Vidéotron sous
leurs principales marques ainsi que sous certaines marques secondaires comme Virgin Mobile, Fido et Koodo.
Elle
travaille également avec Bell et Telus pour mettre au point des équipements qui
serviront aux réseaux sans fil 5G, qui devraient devenir de plus en plus
importants pour les entreprises de télécommunications canadiennes et leurs
clients au cours de la prochaine décennie.
Article
intégral
Des centres commerciaux utilisent la
reconnaissance faciale sans votre accord
Radio-Canada
Alberta, le jeudi 26 juillet 2018
Photo:
CBC / Sarah Rieger. Les bornes d'orientation tactiles peuvent deviner l'âge et
le sexe des visiteurs.
Un
visiteur a découvert, malgré lui, que les dispositifs tactiles d'orientation du
centre commercial Chinook de Calgary utilisent un logiciel de reconnaissance
faciale sans son accord. Cela met en danger le respect de la vie privée, selon
une experte.
Au moins deux centres commerciaux de Calgary
se servent de la reconnaissance faciale sur des bornes d'orientation tactiles
sans consentement de l'usager. La technologie leur permet d'estimer l'âge et le
sexe des visiteurs.
C'est ce qu'a découvert un utilisateur du
réseau social Reddit. Sous le pseudonyme Jizztowel, il a posté une photo mardi
montrant une fenêtre de navigation qui s'était accidentellement ouverte sur un
écran tactile d'orientation du centre commercial Chinook, dans le sud de
Calgary.
Le visiteur, curieux, découvre alors qu'un
logiciel de reconnaissance faciale fonctionne en arrière-plan de la carte
interactive qu'il utilisait. Sur le cliché posté, on peut voir qu'il s'agit de
Mappedin.
Cadillac Fairview, propriétaire du centre
commercial Chinook, a expliqué que ce logiciel est utilisé depuis juin.
«Nous ne demandons pas l'accord des
utilisateurs parce que nous ne prenons aucune photo», explique un porte-parole.
«Les données sont utilisées pour assurer une meilleure expérience d'achat».
Les données issues de la vidéosurveillance,
les informations collectées à travers les téléphones connectés à un WIFI
public, ou la reconnaissance faciale, tout cela pourrait être combiné et le
résultat de ce profilage peut avoir un impact négatif sur la vie privée.
‘Nous ne demandons pas l'accord des
utilisateurs parce que nous ne prenons aucune photo’ – mon œil!
Autrefois les esclaves portaient des
chaînes, aujourd’hui ils portent des iPhones.
Reconnaissance faciale
Agora
| 2018-02-23
En
Chine, on appelle œil céleste le grand système étatique de reconnaissance faciale
: «Le pays met actuellement en place le système de caméras de surveillance le
plus sophistiqué au monde. Il a déjà installé quelque 170 millions de caméras nourries à l'intelligence artificielle et en
prévoit trois fois plus d'ici 2020.» (Le Figaro, 13/12/2017)
À quoi il faut ajouter les caméras des drones et les lunettes traqueuses. «La Chine est en
train d'équiper sa police de lunettes capables de reconnaissance faciale pour
assurer une surveillance jusque dans des lieux hors du champ des caméras de
sécurité.
Officiellement, cet équipement doit
permettre de traquer délinquants, fugitifs et resquilleurs parmi la foule lors
des grands déplacements occasionnés par le Nouvel An chinois mais les ONG y
voient aussi un moyen de renforcer la pression sur les dissidents et les
minorités ethniques déjà passablement persécutés en temps normal», indique le
Wall Street Journal. (C'est la société chinoise LL Vision Technology qui
fournit les lunettes connectées ressemblant à des lunettes de soleil portant un
petit composant qui n'est pas sans rappeler les Google Glass. Source :
Génération NT, portail high-tech français) [...]
Article intégral : http://agora.qc.ca/Dossiers/reconnaissance_faciale
Journal
du Geek (février 2018) :
Ce
qui devait arriver arriva : déjà utilisée pour chasser les voleurs de papier
toilette, ou surveiller les étudiants dilettants, la reconnaissance faciale a fait
son entrée dans la police et vient renforcer l’arsenal de surveillance des
autorités chinoises.
Les fonctionnaires de police sont désormais
équipés de lunettes (de soleil) avec reconnaissance faciale conçues par la
société chinoise LLVision Technology.
Surveillance.
Photo
: China News Service via WSJ. Police Chine.
Cet
outil permet d’identifier une personne recherchée dans les endroits les plus
encombrés, comme une gare ou un aéroport, mais également là où les caméras de
surveillance, pourtant nombreuses sur le territoire, restent aveugles.
Son fonctionnement est simple, mais
redoutable : en quelques secondes, les lunettes automatisent le processus
d’identification des passants avec une précision sans pareille. Lorsque le/la
policier(e) regarde dans une direction, la caméra prend des mesures précises de
la largeur et de la profondeur du visage avant de les comparer à une base de
données d’individus identifiés.
Et pour ne pas perdre de temps, cette base
de données est intégrée dans le petit boitier situé sur la branche de la
lunette, réduisant du même coup le temps de communication et son traitement
depuis des serveurs distants.
Durant
le règne de Mao, le système encourageait la surveillance et la délation entre
citoyens, ce qui a occasionné d’innombrables exécutions arbitraires (c.-à-d. sans
procès). Désormais, la RPC peut elle-même surveiller tout le monde à sa guise,
partout, 24/24.
L’extrême de la surveillance citoyenne
Noter les citoyens chinois pour mieux
les contrôler
Le système de crédit social en
Chine
Médium
large | ICI Radio-Canada | lundi 9 avril 2018
Depuis
2014, le gouvernement chinois de Xi Jinping développe un outil administratif
qualifié de «système de crédit social». Il attribue une note aux individus en
fonction d'informations numériques sur leurs actions passées, leurs
comportements ou leur situation financière.
Photo : Fred Dufour / Getty Images. Des Chinois voyagent dans un train
bondé.
Avec
ce système de notation, l’objectif du Parti communiste chinois est de rétablir
la confiance au sein d’une société corrompue. Mais cette forme de contrôle, qui
était d’abord seulement appliquée aux entreprises, entraîne des dérives. Il y a
aussi un risque de manipulation des données obtenues par le gouvernement.
«Les compagnies étrangères ont une grande
responsabilité dans la construction de cette architecture de surveillance en
Chine. [...] Il y a un mois, Apple a transféré toutes les données de ses
utilisateurs chinois à une compagnie qui les rend accessibles au gouvernement.»
~ Nicholas Bequelin, Amnistie internationale
Des contraintes réelles pour les
mauvais citoyens
Garer
sa voiture par infraction, mal faire son tri d’objets à récupérer, et même
avoir des amis ayant des comportements sanctionnés peuvent nuire à la note
sociale des Chinois. Un mauvais dossier peut empêcher un citoyen de prendre
l’avion, le train ou entraîner des frais supplémentaires pour certaines
transactions.
Dans un pays où les droits de la personne
sont brimés, les techniques de surveillance de plus en plus pointues sèment la
méfiance chez les citoyens. Alors que des millions de caméras intelligentes
dotées de systèmes de reconnaissance faciale sont installées à travers toute la
Chine, manifester son droit à la vie privée est difficilement envisageable.
----
(1)
Le profilage est omniprésent. Même
si vous n’avez rien à cacher, auriez-vous quand même des raisons de craindre la
surveillance intrusive? Que signifie «respect de la vie privée» pour vous? Où
se situe votre seuil de tolérance? Êtes-vous apathique, indifférent? Où doit
commencer et cesser la surveillance étatique et mercantile?
Vous songez peut-être à aller vivre dans une
cabane au fond des bois pour échapper à cette surveillance omniprésente. Ce
serait totalement futile car les satellites et les drones vous traqueront où
que vous soyez. Vraiment débile.
Deux exemples
1. Les partis politiques récoltent des
données sur vous
Le
journaliste Alec Castonguay, dans un article du magazine l’Actualité, explique
comment les partis politiques se servent d'informations sur la vie privée des
électeurs pour adapter leur message politique et maximiser leurs chances de
remporter des élections.
«On utilise les sondages, les sources
ouvertes comme les dons aux partis politiques, la base de données d'Élections
Canada, Statistiques Canada et le recensement pour faire des profilages très
précis des différentes circonscriptions, rue par rue, maison par maison. Quand
on est capable d'avoir cette masse d'infos, de la digérer – c'est la nouveauté,
parce qu'avant on était incapable tandis que maintenant on a des technologies
pour le faire –, on sait assez précisément ce que chacune des maisons voudrait
avoir comme message.»
Le journaliste rappelait qu’à chaque fois
qu’un individu répond à un sondage, signe une pétition, remplit un coupon
rabais, utilise une carte de fidélité ou sa passe de métro, etc., il transmet
des renseignements personnels, voire ses allées et venues, fort utiles aux
gouvernements et commerçants. Par exemple, si
vous avez signé une pétition en faveur du mariage gay (ce qui ne signifie pas
que vous l’êtes vous-même) on pourra supposer que des homosexuels habitent chez
vous. Comme on le voit, ça peut aller très loin... Mais le plus étonnant,
c’est que les bénévoles des partis
politiques sont formés pour espionner sur le terrain : ils interrogent des
voisins, notent s’il y a des jouets dans la cour (signe qu’il y a des enfants), si la voiture porte un autocollant
particulier (Greenpeace = négatif, NASCAR = positif), fouillent les bacs de recyclage et ainsi de suite. (Émission
Médium large, ICI Radio-Canada Première, 14.08.2015)
2. Des bracelets à puce qui
révolutionnent la culture
L’entreprise
montréalaise Connect & Go a conçu des bracelets à puce utilisés dans des
événements d'envergure tels les festivals Osheaga et Île Sonic.
«La base, c'est le contrôle d'accès. [...]
On réduit la fraude. On réussit aussi, du fait qu'on contrôle les accès de
manière électronique, à savoir combien il y a de gens sur le site. Combien y
a-t-il de femmes? Combien y a-t-il d'hommes? Quel est leur groupe d'âge? D'où
sont-ils? [...] On est capable d'aller chercher beaucoup d'information»,
explique Dominic Gagnon, cofondateur de Connect & Go, qui croit que cette
technologie pourra aussi permettre aux promoteurs de concevoir de meilleurs
programmes d'événements. «On va savoir ce qu'ils [le public] consomment, ce
qu'ils boivent, ce qu'ils font. On va être capable de faire de l'intelligence
marketing pour mieux cibler.» (Émission Médium large, ICI Radio-Canada
Première, 14.08.2015)
Pouvons-nous dire : «Non merci»?
Le
promoteur de Connect & Go vantait les micro-puces sous-cutanées offertes en
vente libre, que les acheteurs peuvent s’injecter eux-mêmes. Aux États-Unis on
utilise maintenant des drones pour surveiller les foules, qu’il s’agisse de
manifestations, de spectacles ou autres.
On continue de préparer les gens à devenir
du bétail passif «marqué/micro-pucé», par la force des choses. Les micro-puces
sous-cutanées (que les gens trouvent «cool» et pratiques) représentent une
perte totale de la vie privée et de la liberté, la perte du droit de penser par
soi-même et de choisir. Ces micro-puces sont plus dangereuses que les
téléphones intelligents puisqu’elles restent dans le corps – le porteur est
soumis en permanence à toutes sortes de fréquences nocives, satellitaires entre
autres, jour et nuit.
Un jour ou l’autre, les diverses monnaies
internationales, l’argent-papier et les cartes de débit/crédit disparaîtront
comme par magie. Il sera impossible de vendre ou d’acheter quoi que ce soit
sans cette micro-puce sous-cutanée, même pas une miche de pain. Et, dans le
pire des scénarios, quiconque refusera l’injection sera mis au pas sinon
refoulé dans des parcs à humains comme dans le film Fortress de Stuart Gordon (1992).
Ça nous en bouche un coin :
«Le
robot entend votre cœur battre à travers le béton. Dans l’espace, personne ne
vous entendra crier... sauf les robots. Les vibrations constituent le seul type
de son décelable dans le vide. Les capteurs sismiques peuvent détecter un
tremblement de terre de l’autre côté du globe, mais on peut les régler pour
repérer un bruit de pas tout proche.» ~ Daniel H. Wilson (auteur de «Survivre à
une invasion robot»)
Des millions (milliards?) de faces
digitalisées
L’article
référé ci-après inclut des conseils de Daniel H. Wilson et de chercheurs/maquilleurs professionnels, pour tromper
la reconnaissance faciale (lors de manifestations par exemple).
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