Cocasse cette photo! Pépé n'a pas l'air de bonne humeur.
43 ans plus tard...
La bousculade d’hier prouve une fois de plus que les Parlements sont des Centres de la petite enfance (CPE) – institutions consacrées à la garde et à l'éducation de jeunes enfants.
Comme je l’ai déjà suggéré sur ce site, les parlementaires auraient tout intérêt à suivre un cours élémentaire d’intelligence émotionnelle – c’est mieux que la boxe pour négocier...
On parle d’Intelligence Émotionnelle (ou de Quotient Émotionnel – QE) depuis quelques décennies déjà. Mais, on ne peut pas dire qu’elle fait «fureur», contrairement à l’épidémie de rage universelle.
Si j’étais whip j’obligerais tous les députés participant aux assemblées à lire «Zoom sur l’intelligence émotionnelle». (Un whip ou chief whip est le membre d'un parti politique élu au parlement dont le rôle est de s'assurer que les membres du parti soient présents lors des votes à la chambre et qu'ils suivent les consignes données par les chefs du parti.)
Quand on observe les débats politiques on peut légitimement se demander ce que signifie l’adjectif «civilisé»!
Article intégral :
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2011/03/quotient-emotionnel.html
Un cas pour la DPJ aux Communes?
Au Québec, la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) est constituée du personnel administratif et des «personnes autorisées» qui ont la responsabilité d'appliquer la Loi sur la protection de la jeunesse.
Dans «la Loi sur la protection de la jeunesse»
On entend par :
e) abus physiques :
- lorsque l'enfant court un risque sérieux de subir des sévices corporels ou d'être soumis à des méthodes éducatives déraisonnables de la part de ses parents ou d'une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation.
f) troubles de comportement sérieux :
- lorsque l'enfant, de façon grave ou continue, se comporte de manière à porter atteinte à son intégrité physique ou psychologique ou à celle d'autrui et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation ou que l'enfant de 14 ans et plus s'y oppose.
À noter que nos lois interdisent la fessée, les gifles, etc.
Un peu d’histoire sur les châtiments corporels :
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/punition/histoire.html .
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