La planète
web en entier a vu cette pub chinoise de savon à lessive Qiaobi. En résumé :
la fille fait avaler une capsule de savon au peintre de race noire et le balance
dans sa lessiveuse; à la fin du cycle, il a été transformé en p’tit
asiatique plus blanc que le riz blanchi au chlore. Chez les nouveaux riches
chinois, les filles doivent de préférence épouser des asiatiques à peau blanche
et riches, possédant des appartements luxueux à Shanghai ou Shenzhen et de rutilantes
bagnoles prestigieuses. Les générations post-Mao frustrées rattrapent le temps perdu au grand galop.
En fait, il
s’agit d’un copié/collé de pub raciste américaine du siècle dernier :
"Pourquoi ta mère ne te lave pas avec le savon des fées (Fairy Soap)?"
Cette odieuse
pub vous répugne? Détournez simplement les yeux, comme pour tout le reste :
la politique, la corruption, les paradis fiscaux, les guerres, les génocides, la
prédation industrielle, la pauvreté, l’esclavage, le réchauffement climatique, l’itinérance...
Exclusif.
Le projet de centre de commerce international
chinois à Varennes bat de l’aile.
Un investissement de 60 millions connaît de nombreux ratés qui risquent de
compromettre sa réalisation, a appris La Presse. L'un des promoteurs chinois est poursuivi par des fournisseurs de
services au Québec, la vente du terrain n'avance pas, et la Ville de
Varennes n'a plus de nouvelles depuis plusieurs mois.
Le Groupe Robert, propriétaire du terrain
de 1,5 million de pieds carrés convoité par les acheteurs chinois à Varennes,
s'impatiente. «Les deux partenaires impliqués dans la négociation [MITC
Management et Min Yin Holdings] sont en brouille et en désaccord sur des
questions financières», constate la porte-parole du Groupe, Caroline Lacroix.
Pour sa part, le maire de Varennes, Martin
Damphousse, reconnaît que la situation est difficile à interpréter. «Je ne dis
pas que le projet est compromis, mentionne-t-il avec prudence. Je ne sais rien
pour le moment. Ça fait des mois qu'on n'a pas de nouvelles des investisseurs.
C'est communication zéro. C'est
préoccupant.»
Le projet de centre de commerce chinois,
selon le modèle proposé, consiste en deux
bâtiments de trois étages d'une superficie de 500 000 pieds carrés chacun, avec
des stands installés dans les imposants hangars pour vendre les produits
manufacturiers «made in China» aux détaillants québécois. (La Presse)
Non merci, pas d’extra! Nos
dépotoirs débordent de chinoiseries obsolètes et inutiles.
«Il est plus facile de duper les gens... que
de les convaincre qu'ils ont été dupés.»
~ Mark
Twain
J'entendais un journaliste rapporter les propos d'un économiste qui vantait l'omniprésence des Chinois en Afrique qui dans 20 ans devraient être immensément riches -- les Africains ou les Chinois?!
Ce qui m'a fait penser à...
Un sage
chinois, il y a de cela plusieurs siècles, conseiller de l’empereur, confia à
ce dernier :
«Si vous voulez
détruire un pays, inutile de lui faire une guerre sanglante qui pourrait durer
des décennies. Il suffit de détruire son système d’éducation et d’y généraliser
la corruption. Ensuite, il faut attendre 20 ans et vous aurez un pays
constitué d’ignorants, dirigé par des voleurs. Il vous sera facile de les
vaincre.»
Dans son
traité L’Art de la guerre, rédigé vers le Ve siècle avant J.-C., le
Chinois Sun Tse (Sun Zi ou Sun Tzu, mais son vrai nom était Sun Wu), enseignait
:
«L’art de la guerre est l’art de
duper, et en donnant toujours l’apparence contraire de ce que l’on est, on
augmente les chances de victoire.»
Ainsi, le
dessein de faire la guerre une fois formé, les troupes étant déjà sur pied et
en état de tout entreprendre, ne dédaignez pas d’employer les artifices.
Commencez par vous mettre au fait de tout
ce qui concerne les ennemis; sachez exactement tous les rapports qu’ils peuvent
avoir, leurs liaisons et leurs intérêts réciproques; n’épargnez pas les grandes
sommes d’argent; n’ayez pas plus de regret à celui que vous ferez passer chez
l’étranger, soit pour vous faire des complices, soit pour vous procurer des
connaissances exactes, qu’à celui que vous emploierez pour la paie de ceux qui
sont enrôlés sous vos étendards : plus vous dépenserez, plus vous gagnerez;
c’est un argent que vous placez pour en retirer un gros intérêt.
Ayez des espions partout, soyez instruit
de tout, ne négligez rien de ce que vous pourrez apprendre; mais, quand vous
aurez appris quelque chose, ne la confiez pas indiscrètement à tous ceux qui
vous approchent.
Lorsque vous emploierez quelque artifice,
ce n’est pas en invoquant les Esprits, ni en prévoyant à peu près ce qui doit
ou peut arriver, que vous le ferez réussir; c’est uniquement en sachant
sûrement, par le rapport fidèle de ceux dont vous vous servirez, la disposition
des ennemis, eu égard à ce que vous voulez qu’ils fassent.
[...]
Le grand secret de venir à bout de tout
consiste dans l’art de savoir mettre la division à propos; division dans les
villes et les villages, division extérieure, division entre les inférieurs et
les supérieurs, division de mort, division de vie.
[...]
La division de vie est celle par laquelle
on répand l’argent à pleines mains envers tous ceux qui, ayant quitté le
service de leur légitime maître, ont passé de votre côté, ou pour combattre
sous vos étendards, ou pour vous rendre d’autres services non moins essentiels.
Si vous avez su vous faire des complices
dans les villes et les villages des ennemis, vous ne manquerez pas d’y avoir
bientôt quantité de gens qui vous seront entièrement dévoués. Vous saurez par
leur moyen les dispositions du grand nombre des leurs à votre égard, ils vous
suggéreront la manière et les moyens que vous devez employer pour gagner ceux
de leurs compatriotes dont vous aurez le plus à craindre ; et quand le temps de
faire des sièges sera venu, vous pourrez faire des conquêtes, sans être obligé
de monter à l’assaut, sans coup férir, sans même tirer l’épée.
Si les ennemis qui sont actuellement
occupés à vous faire la guerre ont à leur service des officiers qui ne sont pas
d’accord entre eux ; si de mutuels soupçons, de petites jalousies, des intérêts
personnels les tiennent divisés, vous trouverez aisément les moyens d’en
détacher une partie, car quelque vertueux qu’ils puissent être d’ailleurs,
quelque dévoués qu’ils soient à leur souverain, l’appât de la vengeance, celui
des richesses ou des postes éminents que vous leur promettez, suffiront
amplement pour les gagner ; et quand une fois ces passions seront allumées dans
leur cœur, il n’est rien qu’ils ne tenteront pour les satisfaire.
Si les différents corps qui composent
l’armée des ennemis ne se soutiennent pas entre eux, s’ils sont occupés à
s’observer mutuellement, s’ils cherchent réciproquement à se nuire, il vous
sera aisé d’entretenir leur mésintelligence, de fomenter leurs divisions; vous
les détruirez peu à peu les uns par les autres, sans qu’il soit besoin qu’aucun
d’eux se déclare ouvertement pour votre parti; tous vous serviront sans le
vouloir, même sans le savoir.
[...]
Que vous restera-t-il à faire pour vous
rendre maître d’un pays dont les peuples voudraient déjà vous voir en
possession?
Si vous récompensez ceux qui se seront
donnés à vous pour se délivrer des justes craintes dont ils étaient
perpétuellement agités, et pour mettre leurs jours à couvert; si vous leur
donnez de l’emploi, leurs parents, leurs alliés, leur amis seront autant de
sujets que vous acquerrez à votre prince.
Si vous répandez l’argent à pleines mains,
si vous traitez bien tout le monde, si vous empêchez que vos soldats ne fassent
le moindre dégât dans les endroits par où ils passeront, si les peuples vaincus
ne souffrent aucun dommage, assurez-vous qu’ils sont déjà gagnés, et que le
bien qu’ils diront de vous attirera plus de sujets à votre maître et plus de
villes sous sa domination que les plus brillantes victoires.
Soyez vigilant et éclairé; mais montrez à
l’extérieur beaucoup de sécurité, de simplicité et même d’indifférence; soyez
toujours sur vos gardes, quoique vous paraissiez ne penser à rien; défiez-vous
de tout, quoique vous paraissiez sans défiance; soyez extrêmement secret,
quoiqu’il paraisse que vous ne fassiez rien qu’à découvert; ayez des espions
partout; au lieu de paroles, servez-vous de signaux ; voyez par la bouche,
parlez par les yeux; cela n’est pas aisé, cela est très difficile. On est
quelquefois trompé lorsqu’on croit tromper les autres. Il n’y a qu’un homme
d’une prudence consommée, qu’un homme extrêmement éclairé, qu’un sage du
premier ordre qui puisse employer à propos et avec succès l’artifice des
divisions. Si vous n’êtes point tel, vous devez y renoncer; l’usage que vous en
feriez ne tournerait qu’à votre détriment.
[...]
Punissez sévèrement, récompensez avec
largesse : multipliez les espions, ayez-en partout, dans le propre palais du
prince ennemi, dans l’hôtel de ses ministres, sous les tentes de ses généraux;
ayez une liste des principaux officiers qui sont à son service; sachez leurs
noms, leurs surnoms, le nombre de leurs enfants, de leurs parents, de leurs
amis, de leurs domestiques; que rien ne se passe chez eux que vous n’en soyez
instruit.
[...]
Défendre les États de son souverain, les
agrandir, faire chaque jour de nouvelles conquêtes, exterminer les ennemis,
fonder même de nouvelles dynasties, tout cela peut n’être que l’effet des
dissensions employées à propos.
Telle fut la voie qui permit l’avènement
des dynasties Yin et Tcheou, lorsque des serviteurs transfuges contribuèrent à
leur élévation.
[...]
Une
armée sans agents secrets est un homme sans yeux ni oreilles.
Traité
intégral : http://art-de-la-guerre.blogspot.ca/
26/05/2016. Encore une fois ce matin, on donnait la parole uniquement aux cochers (Gravel le matin, Radio-Canada). Grrrr.
La caricature de Garnotte (Journal Le Devoir) est trop bonne!
Inversion de rôle : mettons les cochers au boulot immédiatement -- tuk-tuk à l'huile de bras et de jambes. Allez hue! Peut-être qu'ils comprendraient...
Mauvaise
nouvelle pour les chevaux.
25/05/2016.
Je me suis réjouie trop vite. M. Denis Coderre avait de bonnes intentions, mais les
cochers ont eu le dernier mot, puisqu'il a décidé de ne pas se lancer
dans une guerre devant les tribunaux cet été. Montréal renonce donc à son
moratoire.
La SPCA de
Montréal est déçue de la levée du moratoire sur les calèches
Anita Kapuscinska
/ 25 mai 2016
Montréal, 25 mai 2016 - Suite à l’obtention d’une
injonction temporaire par les cochers montréalais, la Ville de Montréal a pris
la décision de lever le moratoire d’un
an sur les calèches qu’elle avait préalablement annoncée. La SPCA de
Montréal est déçue de cette nouvelle. Nous demeurons toutefois déterminés à
poursuivre nos actions jusqu’à l’obtention d’une interdiction permanente des
calèches à Montréal.
Plusieurs études scientifiques démontrent que la
santé et le bien-être des chevaux de calèche en ville est compromis à plusieurs
égards. Constamment à risque de
potentielles collisions avec les véhicules, soumis à des températures extrêmes,
à la pollution et forcés à marcher pendant de longues heures sur des surfaces
anormalement dures, ces animaux souffrent fréquemment de problèmes
respiratoires, de boiteries et de divers autres problèmes de santé. Sans
compter la souffrance psychologique subie par les chevaux en raison de
l’impossibilité de se livrer à des comportements naturels tels que socialiser
avec leurs congénères, se déplacer librement et paître. D’ailleurs, aussi récemment qu’en février dernier, M.
Luc Desparois, propriétaire de la majorité des chevaux de calèche à Montréal, a
été trouvé coupable d’avoir compromis la sécurité et le bien-être de ses
chevaux.
Joignez-vous à la SPCA de Montréal en écrivant au
maire afin de demander l’interdiction des calèches dans notre ville!
Rendez-vous sur :
http://www.spca-mtlaction.com/caleches/?g=c1&lang=fr
Ensemble,
nous mettrons terme à cette industrie archaïque, cruelle et dangereuse.
#stopcaleches
Oui, il y a les risques d’accidents, mais aussi les
conditions de vie misérables.
François Cardinal (chroniqueur à La Presse et Radio-Canada)
a défendu les cochers avec vigueur et traité les gens qui se préoccupent du
bien-être des chevaux d’anthropomorphistes. Les médias n’ont pas été vraiment objectifs,
pas même Radio-Canada (Gravel le matin, Médium large, Le 15-18). Place aux pauvres
cochers... victimes d’une propagande biaisée. Cet après-midi, Annie Desrochers
(Le 15-18) a encore interviewé Desparois qui a sorti son disque
rayé 'j'aime mes chevaux, moi'. Ce qu'on fait parle plus fort que ce qu'on dit.
Aucune interview accordée à la SPCA et à Anti-calèches défense coalition.
Or, les cochers ne semblent pas avoir les compétences requises pour s’occuper adéquatement de chevaux ou bien ils ne s'en donnent pas la peine. Quiconque a déjà eu un cheval, ou fréquenté une écurie respectable, sait très bien qu’on ne laisse jamais un cheval en plein soleil. Dans les pacquages, il y a toujours des abris. Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg.
Les cochers à la sortie de la salle d'audience en compagnie de leur avocat Me Audi Gozlan.
«C'est une décision pas de coeur», disait Luc Desparois (écuries Lucky Luc – voyez ses installations
dans l’article du 20 mai).
Alors, j’invite
les gens qui ont du coeur à se priver de tours
de calèche cet été. Elles auraient dû être définitivement bannies à l’automne dernier.
Le cheval est un être vivant qui requiert des soins au même titre que les humains – il a
besoin de boire, manger, travailler, socialiser, courir et dormir. Ce n’est pas
anthropomorphique ni ésotérique que d’y voir!
Aide-mémoire ci-après – vous pourrez évaluer vous-même la
qualité des soins que les chevaux de calèche reçoivent à Montréal.
Voilà à quoi ressemblent des chevaux en santé et
bien traités.
(Photo : La Mayenne, on adore!)
COMMENT
S’OCCUPER D’UN CHEVAL
La
nourriture et le logement
1 S'il
vit au pré, il est impératif que votre cheval ait accès à un abri en tout temps, été comme hiver. Par abri, on entend un endroit propre, confortable, bien entretenu
et qui offre une protection contre les intempéries, la chaleur et les insectes
intempestifs.
En
fonction des nécessités, l'abri peut être un simple coupe-vent, une cabane ou
une écurie en accès libre.
2 En
box, votre cheval doit avoir d'une
litière confortable pour la nuit. Même si les chevaux peuvent dormir
debout, ils ont quand même besoin de se coucher la nuit, ils ont donc besoin
d'une bonne épaisseur propre et confortable pour ce faire! Attention aux
problèmes de santé si la litière n'est pas correctement entretenue.
Le choix
le plus économique est la paille. Elle a l'avantage de conserver la chaleur et
d'être vraiment confortable, mais elle peut véhiculer des champignons et des
parasites et si elle est poussiéreuse, causer des problèmes respiratoires. Il
convient donc de bien surveiller la santé du cheval. Les copeaux sont plus
coûteux, mais moins poussiéreux et ils sont également plus hygiéniques. Votre
cheval ne les mangera pas comme la paille, ce qui lui évitera d'ingérer quelque
chose de mauvais pour sa santé. Le chanvre est de plus en plus populaire, car
il présente moins de risques pour la santé que la paille.
3 Veillez
à nourrir correctement votre cheval.
Un équidé de taille moyenne consomme
environ 11 kg de nourriture chaque jour. Mais les chevaux ont un petit
estomac et un système digestif sensibles, ce qui fait qu'en liberté, ils
paissent toute la journée plutôt que de consommer un ou deux gros repas
concentrés.
Donnez
environ la moitié d'un ballot de foin ou de luzerne (ou un mélange des deux)
par jour à votre cheval (tout dépend bien sûr de sa taille, de sa race et de
son travail), soit environ 2% de son poids.
Deux à
trois fois par jour, donnez-lui une ration d'aliments concentrés (avoine, orge,
pétales de maïs…) ou de granulés. Les chevaux aiment la routine :
nourrissez-les à heures fixes!
Prévenez
les risques de coliques en vérifiant bien ce que vous mettez à la disposition
de votre cheval. La paille devrait toujours être fraîche, éliminez les lots qui
présentent une coloration inhabituelle, de la poussière, des moisissures ou une
odeur désagréable : attention au risque de coliques et d'emphysème!
4 Il
est important que le cheval reçoive un complément
de minéraux (électrolytes). Le plus simple est de mettre à sa disposition
une pierre de sel. Les électrolytes jouent un rôle important à plusieurs
niveaux : production de sueur, salive, suc gastrique, urine, mucus, bon
fonctionnement du système nerveux et du cœur, hydratation… Tous les chevaux
n'acceptent pas de lécher une pierre de sel, même s'ils ont besoin de sel. Si
c'est le cas de votre compagnon, vous pouvez ajouter deux cuillérées à café de
sel à sa ration habituelle.
5 Votre
cheval doit avoir accès à un point d'eau
à volonté. Un cheval de taille
moyenne boit plus de 40 litres d'eau par jour! L'eau doit toujours être très
propre et fraîche, ce qui signifie que vous devez décrotter et remplir le seau
très régulièrement ou bien vérifier que les abreuvoirs automatiques ne sont pas
souillés, sinon votre cheval refusera de boire. Au pré, vous devrez
vérifier l'état de l'abreuvoir au moins une fois par semaine pour vous assurer
que des algues ne se développent pas dedans.
Si votre
cheval boit dans un seau au box, pensez à le remplir au moins deux fois par
jour. Les abreuvoirs automatiques restent la meilleure option, car elles vous
épargnent de nombreux allers-retours pour remplir un seau qui peut toujours
être renversé. Mais les canalisations risquent de geler en hiver : vérifiez
bien leur état constamment.
6 Les
chevaux ne peuvent pas rester enfermés
au box toute la journée [ou attachés à un poteau en ville],
ils ont besoin de sortir se défouler au pré ou au paddock. Il vous faudra
aménager un paddock chez vous ou bien vous assurer que votre contrat de pension
comprend un temps de liberté dehors pour votre cheval.
Les soins
quotidiens
1 Nettoyez la litière tous les jours :
retirez les crottins et la paille trop souillée avec une pelle et une benne,
conservez la paille de la veille pour constituer un matelas et rajoutez de la
paille fraîche par-dessus. La paille doit être répartie également dans tout le
box et un peu plus haut le long des murs.
Si votre
cheval vit dans un box, il faut nettoyer ce dernier matin et soir. Curez complètement le box toutes les semaines en
enlevant toute la litière, désinfectez le sol et remettez une nouvelle litière.
2 Brossez votre cheval. Un cheval qui vit
dans un box doit être brossé tous les jours pour que sa robe reste propre. Les
crins de la crinière et de la queue doivent être soigneusement démêlés.
Utilisez
une étrille pour décoller la boue et les
souillures incrustées sur les parties charnues du corps. Passez ensuite la
brosse dure pour enlever la saleté et enfin la brosse douce pour dépoussiérer.
Vous pouvez passer cette dernière sur la tête très délicatement et dans les
crins si ceux-ci ne sont pas trop emmêlés. Soyez
toujours très délicat lorsque vous brossez les jambes et toute partie du corps
qui n'est pas charnue.
En été, vous pouvez doucher votre cheval.
Procurez-vous un shampooing antifongique. Utilisez un peigne en plastique à
grosses dents pour démêler la crinière. Si vous trouvez de gros nœuds, démêlez-les
avec vos doigts d'abord. N'utilisez pas de ciseaux, vous feriez un trou visible
dans la masse de crins qui mettrait des mois à repousser normalement.
N'arrachez pas non plus les nœuds, cela raccourcit les crins.
3 Il ne
suffit pas de sortir le cheval pour le travail. Il faut également lui donner
des moments de détente en liberté,
d'où l'importance du pré ou du paddock.
Un cheval
en bonne santé
1 Les sabots nécessitent une attention
particulière, car ils sont fragiles. Il faut curer les pieds tous les jours avec un cure-pied et après chaque sortie
pour enlever les cailloux susceptibles de s'être coincés sous les sabots et
notamment dans les fers. Il s'agit d'un soin indispensable afin d'éviter ou de surveiller l'apparition de boiteries,
d'atteintes, seimes, abcès, etc. La
fourchette est également susceptible de pourrir si la sole n'est pas
correctement nettoyée. Le maréchal-ferrant doit de plus parer les sabots de
votre cheval régulièrement.
Il faut
faire venir le maréchal-ferrant toutes les six semaines si le cheval est ferré. Dans le cas contraire, les sabots doivent être parés
tous les deux mois.
2 La dentition du cheval doit être contrôlée
tous les ans par le dentiste équin. À cette occasion, il procède au limage
des dents, un procédé indispensable, car elles peuvent devenir pointues, ce qui
peut gêner le cheval pendant la mastication.
Vous
devez cependant inspecter la bouche de
votre cheval très régulièrement afin de vérifier que tout va bien. Certains
symptômes peuvent indiquer un problème oral : jetage, toux ou si le cheval
n'arrive pas à garder sa nourriture en bouche. N'attendez pas que le problème
empire pour réagir!
3 Même
si tout va bien, il faut que le
vétérinaire ausculte votre cheval au moins une fois par an. Il en profitera
pour mettre à jour les vaccins et
administrer un vermifuge. Ne faites
pas l'économie de cette visite annuelle. Certains vaccins nécessitent un ou
deux rappels par an : la grippe, la rhinopneumonie, la rage et le tétanos.
Les chevaux doivent recevoir un vermifuge
quatre fois par an.
4 Vous
devez également faire attention à ne pas laisser votre cheval manger n'importe
quoi. Si vous avez le moindre doute sur une plante que votre cheval a ingérée,
appelez immédiatement votre vétérinaire.
Avertissements
Ce guide est très loin d'être complet.
Réfléchissez
bien avant d'acheter un cheval. Cela demande beaucoup d'entretien et de temps
et, une fois que vous aurez votre cheval, vous ne pourrez pas le négliger!
Les chevaux
ne sont pas des machines, ils nécessitent beaucoup d'attention, de respect et
d'amour! Vous devriez toujours être encadré par des professionnels ou des personnes
expérimentées, car un cheval est un grand animal, vous ne pouvez pas vous permettre
de faire n'importe quoi!
Source : wikiHOW http://fr.wikihow.com/s%27occuper-d%27un-cheval
En effet...
«Si l'arbre
savait ce que lui réserve la hache, il ne lui fournirait pas le manche.» ~ Boucar
Diouf (Rendez à ces arbres ce qui appartient à ces arbres)
À la fin des années 1960, un chercheur américain a
émis l'hypothèse d'un équilibre entre prélèvements et émissions de carbone par
les vieilles forêts âgées de plus de 150 ans, et donc de leur capacité de neutraliser.
Cette hypothèse a été acceptée par la majorité des écologistes. Mais, les vieilles forêts,
qui constituaient plus de 30% de la surface totale des forêts, ont été ignorées
par le protocole de Kyoto.
«Tout comme
il existe dans la nature des papillons qui boivent des larmes des tortues pour
leur goût salé, dans vos sociétés dites modernes, c’est souvent avec les larmes
des ouvriers que les grands de ce monde remplissent leurs piscines.»
~ Boucar
Diouf (Rendez à ces arbres ce qui appartient à ces arbres)
«Si tu
donnais le Sahara à certains humains, dans quelques années ils auraient besoin
d'acheter du sable.»
~ Boucar
Diouf (Le brunissement des baleines blanches)
Parlant du Sahara... À la suite de la crise du
sable à Dubaï, certains pays on vendu du sable aux Arabes! Monumental paradoxe.
Consolons-nous, il y a deux ressources naturelles inépuisables sur lesquelles nous pourrons toujours compter : la cupidité et l'inconscience de l'espèce humaine.
Le sable,
enquête sur une disparition
Les enjeux de l’exploitation du sable sont
méconnus du grand public, mais sa valeur économique est au coeur d’une guerre
entre entrepreneurs, contrebandiers, écologistes et populations locales à
travers le monde. Volé ou extrait à prix risible des côtes, des rivières et des
océans, le sable est la ressource naturelle la plus consommée sur la planète
après l’eau. Essentiel à nos économies modernes, il se retrouve au centre de la
fabrication du béton, qui est composé aux 2/3 de sable, en plus d’être
essentiel à l’alimentation, aux cosmétiques, détergents, ordinateurs,
cellulaires et cartes bancaires. Il est au coeur de stratégies d’expansion de
plusieurs territoires.
L’extraction illégale du sable par milliards de
tonnes à travers le monde mène les scientifiques et les organisations de
défense de l’environnement à prédire une réalité alarmante : à la fin du 21e
siècle, toutes les plages auront disparu. Alors que la construction connaît une
croissance exponentielle sous la pression des économies émergentes et de la
migration des populations vers les villes, plus de 75% des plages sont menacées
de disparition et les sites d’extraction illégale se multiplient. Des côtes de
la Floride jusqu’en Indonésie, en passant par Dubaï et Singapore, le sable est
devenu en quelques années la source d’enjeux mondiaux faramineux.
Le Sable,
enquête sur une disparition révèle par une investigation méticuleuse une
réalité peu connue du grand public : la véritable bombe écologique et le drame
social et humain que représente l’exploitation massive du sable.
Quelques faits pour mieux comprendre…
Après l’air et l’eau, le sable est la ressource la
plus consommée au monde : plus de 15 milliards de tonnes sont utilisées dans le
monde chaque année.
› Tonnes de sable utilisées dans la construction
de :
* Une maison de taille moyenne : 200 tonnes
* Un bâtiment comme un hôpital : environ 3000
tonnes
* Un kilomètre d’autoroute : au moins 30 000
tonnes
* Une centrale nucléaire : environ 12 millions de
tonnes.
Sur la planète, 2/3 de ce qui est construit est en
béton armé. Le béton est constitué de 2/3 de sable.
› Chaque drague (bateau) :
* Peut pomper entre 4 000 et 400 000m3 de sable au
fond de la mer par jour
› Les plages
* Entre 75 et 90% des plages de la planète sont
aujourd’hui menacées de disparition.
* Si on ne fait rien d’ici 2100, les plages du
monde seront de l’histoire ancienne.
› Îles affectées par le prélèvement excessif de
sable à proximité
* 25 îles indonésiennes disparues
* 120 îles évacuées aux Maldives
› Valeur économique du sable :
* Le sable représente un volume d’échanges
internationaux de 70 milliards de dollars par an.
* La presqu’île artificielle qu’est Dubaï a coûté
plus de 12 milliards de dollars, et a ingurgité près de 150 millions de tonnes
de sable pompé au large des côtes de Dubaï.
* 3500 sociétés australiennes exportent vers la
péninsule arabique. Leurs bénéfices ont triplé en 20 ans, et le sable
représente aujourd’hui un revenu annuel de 5 milliards de dollars CAD pour
l’Australie.
http://www.informactionfilms.com/pdf/le-sable-enquete-sur-une-disparition_fr2.pdf
Une enquête surprenante qui lève le voile sur une
réalité méconnue : l'exploitation du sable, la ressource naturelle la plus
consommée sur la planète, avant l'eau et le pétrole. De Bombay à la Bretagne en
passant par Dubaï, Tanger ou les Maldives, ce film écologique à suspense dévoile
une urgence planétaire : la menace qui pèse sur le sable, ressource vitale dont
le pillage s'accélère.
Le sable,
enquête sur une disparition
Un film de Denis Delestrac produit par
InformAction, La Compagnie des Taxi-Brousse, Rappi Productions et ARTE France
Canada, France 2013, vidéo numérique HD, couleur,
stéréo, 52 min.
Avec la collaboration de ARTE France, Télé-Québec,
Radio Télévision suisse
Si vous avez accès à la zone :
http://zonevideo.telequebec.tv/media/9830/sable-enquete-sur-une-disparition/le-sable-enquete-sur-une-disparition
24 mai 2016. Au nom de mes amis les chevaux, MERCI à M. Coderre!
Que les calèches et la torture imposée aux chevaux soient bannies à Montréal pour toujours!
Give
the World the Best You Have
People
are illogical, unreasonable and self-centered;
Love
them anyway.
If
you do good, people will accuse you of selfish, ulterior motives;
Do
good anyway.
If
you are successful, you win false friends and true enemies;
Succeed
anyway.
The
good you do today, will be forgotten tomorrow;
Do
good anyway.
Honesty
and frankness make you vulnerable;
Be
honest and frank anyway.
Give
the world the best you have to give and you get kicked in the teeth;
Give
the world the best you have anyway.
~ Ken Keyes
Image : Stefanie Lateghan
Diable que nous sommes arriérés!
Un des arguments pour maintenir l’industrie des
calèches à Montréal est qu’elles font partie du patrimoine. Le second argument concerne
les pertes d’emploi – les cochers se prétendent incapables de faire autre chose
pour gagner leur vie (!). Éliminer des coutumes barbares suppose qu’on élimine
les emplois corrélés. Et c’est une bonne occasion d’en créer de plus conscients. Au cas où le maire Denis Coderre
l’ignorerait, désormais le patrimoine
n’inclut pas les animaux car la nouvelle loi sur leur statut stipule qu’ils ne sont pas des objets!
Suggestions :
1. Les ex-cochers pourraient utiliser des tuk-tuk
à pédales – avec option moteur quand la charge est trop lourde (étrangement, les
passagers des calèches sont souvent obèses)
2. Les touristes pourraient visiter la ville en
vélo Bixi.
Les deux possibilités sont excellentes pour garder
la forme et un poids santé!
Tuk-tuk
Plus sérieusement, il est complètement insensé de «stationner»
des chevaux sur le pavé pendant des heures au milieu de parcs de voitures. Les
calèches doivent disparaître de notre ville polluée au gaz – on pourra les exposer
dans un quelconque musée d’horreurs patrimoniales.
«Des
véhicules du 18e siècle n’ont pas leur place dans une ville
congestionnée du 21e siècle, où il peut survenir divers accidents à
tout moment.»
(Anti-calèches defense coalition, ACDC)
Paris, Toronto, Beijing, Londres, Reno, Santa Fe,
Las Vegas, Palm Beach et d’autres grandes villes ont enrayé l’industrie des
calèches dans les zones urbaines et celle-ci est dénoncée à plusieurs endroits
dans le monde. Bogotá et Mumbai ont emboîté le pas en 2012. Israël a banni les
calèches des rues et des autoroutes, jugeant cette pratique impitoyable. (Si
Beijing et Las Vegas l’ont fait, Montréal devrait être capable...)
Imaginez une grosse moto rutilante qui démarre
subitement dans un vacarme d’enfer à côté d’un cheval. Faudrait-il s’étonner qu’il
s’emballe? Ce genre d’incident s’est produit à côté de moi l’autre jour. J’ai sursauté
si violemment que j’ai craint une crise cardiaque. Et l’idée que le conducteur
allait peut-être s’enrouler autour d’un poteau m’a effleuré l’esprit deux
secondes; mais la compassion a pris le dessus...
Sommes-nous
obligés d’endurer la puanteur, le vacarme et la violence de gens hyper égoïstes
et immatures? Non. Les animaux
non plus. Je ne comprends pas qu’en 2016 on débatte encore sur la question. Justice comes when enough is enough.
«Vieux-Montréal. Smog californien, 30°C (35°
avec l’humidex). En cette fin d’après-midi, une accumulation de chaleur
palpable s’échappe de l’asphalte, les émanations d’oxyde de carbone sont à leur
maximum et l’odeur d’essence nous remplit narines et poumons. Des chevaux à
moitié morts, en sueur, la langue pendante, vacillent sur leurs sabots mal
ferrés, les pattes meurtries, voire sérieusement endommagées, sans parler des
flancs usés et abimés par les attelages de bois ou de métal. Du bruit, du
bruit, que du bruit, et des œillères pour ne pas paniquer. (...) On expose sans
pitié les chevaux, des animaux particulièrement sensibles et peureux, au stress
du trafic urbain. Un stress que beaucoup de conducteurs, assis dans leurs autos
climatisées, ne sont même pas capables de gérer sans rage au volant!» Article
intégral :
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2015/07/les-caleches-en-ville-une-institution.html
Pendant que le cocher est assis à l'ombre, le cheval attend, "stationné" en plein soleil. Ces gars-là prétendent "aimer" leurs chevaux...
Les photos de cet article me scient en deux, me
crèvent le cœur, parce que j’aime les chevaux pour ce qu’ils sont, des êtres vivants qui méritent une vie digne; ce
ne sont pas des utilitaires ou des commodités touristiques. Je les publie malgré
ma répulsion parce que l’ignorance – involontaire
ou crasse – me décourage.
Source des photos : https://www.facebook.com/anticalechedefensecoalition/
Citation d’Elizabeth Forel, militante
anti-calèches de la ville de New York : «Les chevaux ont toujours été des victimes. On les
amène tout bonnement à la guerre, ou on les tue au travail; on les utilise
comme des jouets dans les rodéos, dans les courses ou dans l’industrie
inhumaine des calèches urbaines.»
La
congestion dans les rues causée par la surabondance de véhicules motorisés,
particulièrement dans le secteur du Vieux-Montréal, engendre des maladies
respiratoires chez les chevaux.
Les
cochers les plus acharnés font le plus d’argent – plus le cheval travaille
d’heures, plus il est rentable.
Le 30
octobre 2012, selon des témoins, le cheval de calèche, Black Jack, se serait
effondré et le cocher lui aurait asséné des coups de pieds alors qu’il était
encore à terre.
Les
chevaux doivent tirer des charges très lourdes pendant de longues heures, car les
cochers ne respectent pas la réglementation en vigueur et/ou, celle-ci n’est
pas appliquée par la Ville de Montréal.
Ces
nobles et intelligents animaux méritent une vie meilleure où ils peuvent vivre
dans leur environnement naturel. (ACDC)
20 avril
2016 – Collision entre une calèche en mouvement (sans cocher) et une
voiture, dans le quartier Griffintown de Montréal. La vidéo montre un cheval
blanc heurté par une berline foncée, à l’angle des rues Peel et Wellington. Sous
la force de l’impact, la calèche vacille, tandis que les pattes avant du cheval
fléchissent. La bête passe bien près de se retrouver au sol, mais parvient tout
de même à poursuivre son chemin. (Journal de Montréal)
Septembre
2015 – La jument, Cinderella, a paniqué sur la rue Saint-Paul. En trois
semaines au moins trois chevaux ont paniqué dans le Vieux-Montréal. Grâce à
Yannick Lachapelle pour la photo et à Audray Metcalfe pour le témoignage, nous
pouvons documenter l'incident :
Aujourd'hui,
j'ai été témoin de quelque chose d'horrible qui me hante et m'empêche de dormir
ce soir. Peut-être anodin pour vous, mais moi, ça m'a secouée. Alors que
j'étais au coin McGill et St-Paul dans le Vieux-Montréal, un cheval s'est fait
frapper et renverser alors que son cocher insistait pour le faire tourner sur
une lumière ROUGE! J'ai tout vu, et le cheval s'est retrouvé au sol, les 4
pattes en l'air. Je suis sortie de ma voiture à toute vitesse pour lui porter
secours. Le cocher n'a rien fait pour le rassurer et ne lui a démontré aucune
marque d'affection (normal puisque pour lui ce n'est qu'un objet) quand je lui
ai dit poliment que son cheval méritait de prendre un break pour la journée
puisqu'il devait avoir mal, il m'a froidement répondu, et je cite : «Pas besoin
de break, il va continuer de travailler! Tu vois bien qu'il est maintenant
debout?! Alors mêles-toi donc de tes affaires toé!»
Ensuite
il l'a attaché à un poteau pour le laisser moisir là pendant qu'il allait
donner de la marde au conducteur.
Voilà à
quoi ressemble le traitement réservé aux chevaux de calèche, en plus d'être
dans le trafic entourés de voitures qui klaxonnent, à marcher toute la journée
sans eau, nourriture, peu importe la température. Puis ce n'est pas le premier
incident du genre en peu de temps. C'est absolument inacceptable qu'on se serve
d'eux comme ça, juste pour une tradition débile de touriste. Honte à nous!
Faut que
ça change, et si vous connaissez des journaux ou médias que ça pourrait intéresser,
je me ferai un plaisir de leur raconter la version longue de mon témoignage
d'aujourd'hui... parce que là je vous épargne tous les détails qui ont suivi.
Partagez svp, faut en parler. La photo est après l'incident, alors que le
pauvre attendait encore après son poteau, sans l'attention de personne.
~ Audray Metcalfe (ACDC)
Juillet
2015– À 17h50 aujourd'hui à l’angle des rues Notre-Dame O. et Peel, j'ai vu
quelque chose d'horrible. Ce cheval a glissé sur les plaques de métal, souvent
utilisées dans les zones de construction de Montréal. Le pauvre cheval paraissait
horrifié, épuisé, et à chaque fois qu'il essayait de se relever, il glissait et
retombait. Honnêtement, il ressemblait à Bambi sur la glace.
Heureusement
il y avait quelques bons samaritains et des policiers bienveillants qui essayaient
d'aider le cheval mais sans beaucoup de succès. J'ai des questions à poser à
Montréal...
1) Pourquoi une calèche à l'heure de pointe, à
l'une des intersections les plus achalandées de la ville?
2) il faisait 28 degrés à l'extérieur (34 degrés
avec l'humidité). N'est-ce pas considéré comme de la cruauté envers un animal?
J'en ai
marre de voir ces calèches dans ma ville.
Je ne
sais pas s’il a été blessé ou non, mais je l’ai vu tomber environ 5 fois avant qu’on
commence à évacuer les voitures du bouchon... Il n’était pas du tout en bon
état, il était affolé et soufflait très fort.
Veuillez
transmettre ces photos au maire Coderre et demandez-lui qu’on accorde aux chevaux
de Montréal une retraite dans un pâturage, leur habitat naturel.
Envoyez à msg : https://www.facebook.com/denis.coderre
~ Tara Schulz (via eye witness) #notaproudmontrealer (ACDC)
STOPCALECHES
AGISSONS DÈS
AUJOURD’HUI POUR FAIRE EN SORTE QUE L’INTERDICTION DES CALÈCHES SOIT PERMANENTE!
Aujourd'hui, le maire de Montréal, Denis Coderre,
a interdit pour un an les calèches à Montréal.
Bien que ce soit une bonne première étape, une
interdiction permanente est la vraie solution avec un plan d’action pour bannir
les calèches que donnerait à la ville de Montréal la chance de travailler avec
les propriétaires de chevaux, en collaboration avec la SPCA de Montréal et des
sanctuaires pour chevaux, pour placer ceux-ci dans un foyer aimant et leur
donner une retraite bien méritée. La SPCA de Montréal possède un large réseau
de maisons d’accueil et de sanctuaires pour chevaux, et serait plus
qu’enchantée d’aider au placement de ces chevaux de calèche, comme nous avons
déjà fait pour certains individus dans le passé : http://www.spca.com/?p=4137&lang=fr
Joignez la SPCA de Montréal en faisant parvenir
une lettre au maire afin que l’interdiction des calèches devienne permanente
dans notre ville et ainsi, mettre fin à la souffrance ces chevaux! Rendez-vous
sur :
http://www.spca-mtlaction.com/caleches/?g=c1&lang=fr
Ensemble, nous mettrons terme à cette industrie
archaïque, cruelle et dangereuse. #stopcaleches
À voir : le Domaine équestre ÉquiLibre (France). Un paradis pour les chevaux, sans fers et sans mors, libres, sur plus de mille hectares au coeur des Pyrénées
http://www.equi-libre.fr
P. E. Trudeau et Justin, 1973 https://twitter.com/PhotosHistos
Cocasse cette photo! Pépé n'a pas l'air de bonne humeur.
43 ans plus tard...
La bousculade d’hier prouve une fois de plus que les
Parlements sont des Centres de la petite enfance (CPE) – institutions consacrées à la garde et à
l'éducation de jeunes enfants.
Comme
je l’ai déjà suggéré sur ce site, les parlementaires auraient tout intérêt à
suivre un cours élémentaire d’intelligence émotionnelle – c’est mieux que la
boxe pour négocier...
On
parle d’Intelligence Émotionnelle (ou de Quotient Émotionnel – QE) depuis
quelques décennies déjà. Mais, on ne peut pas dire qu’elle fait «fureur»,
contrairement à l’épidémie de rage universelle.
Si j’étais whip j’obligerais tous les
députés participant aux assemblées à lire «Zoom sur l’intelligence
émotionnelle». (Un whip ou chief whip est le membre d'un parti politique élu au
parlement dont le rôle est de s'assurer que les membres du parti soient
présents lors des votes à la chambre et qu'ils suivent les consignes données par les
chefs du parti.)
Quand on observe les débats politiques on peut légitimement se demander ce que signifie l’adjectif
«civilisé»!
Article intégral :
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2011/03/quotient-emotionnel.html
Un cas pour
la DPJ aux Communes?
Au
Québec, la Direction de la protection de
la jeunesse (DPJ) est constituée du personnel administratif et des
«personnes autorisées» qui ont la responsabilité d'appliquer la Loi sur la
protection de la jeunesse.
Dans «la
Loi sur la protection de la jeunesse»
On
entend par :
e) abus
physiques :
- lorsque l'enfant court un risque sérieux
de subir des sévices corporels ou d'être soumis à des méthodes éducatives
déraisonnables de la part de ses parents ou d'une autre personne et que ses
parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation.
f) troubles de
comportement sérieux :
- lorsque l'enfant, de façon grave ou
continue, se comporte de manière à porter atteinte à son intégrité physique ou
psychologique ou à celle d'autrui et que ses parents ne prennent pas les moyens
nécessaires pour mettre fin à la situation ou que l'enfant de 14 ans et plus
s'y oppose.
À noter
que nos lois interdisent la fessée, les gifles, etc.
Un peu
d’histoire sur les châtiments corporels :
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/punition/histoire.html
.
Abattoirs :
être cruel pour être rentable?
Par Isabelle Sorente, écrivaine – 7 avril 2016
Libération.fr
...Les vidéos de l’association L214 mettent en
lumière les cadences infernales de la filière viande. Les employés sont face à
un dilemme éthique, sauver ou achever.
En moins
de six mois, l’association L214 a diffusé trois films tournés dans trois
abattoirs qui, malgré leur taille dite humaine, malgré leur qualification
«bio», ont été le théâtre d’actes de cruauté envers les animaux. Je garde en
mémoire l’image d’un agneau déchiqueté par une machine. L’opérateur arrive trop
tard, la bête est coupée en deux, elle bouge encore. Que feriez-vous à sa
place? À la place de l’opérateur, tel est le nom qui désigne l’employé de
l’abattoir, le nom qui en a remplacé d’autres comme boucher ou saigneur, telle
est la terminologie, au XXIe siècle, l’opérateur, c’est l’homme en combinaison
qui constate que la machine cisaille l’animal qui vit encore.
J’ignore
la cadence de travail de l’abattoir de Mauléon-Licharre, mais je connais celle
d’une chaîne de découpe d’un abattoir porcin : 900 animaux saignés à l’heure.
15 saignées à la minute. Tel est le rythme imposé à l’opérateur, par la chaîne
de découpe et les robots fendeurs. Les machines imposent leur rythme aux
ressources humaines, comme aux animaux mis à mort. (...)
...Ce
que dissimule cette optimisation, c’est que la souffrance des êtres vivants -
celle des animaux comme celle des employés – devient une variable ajustable de
l’équation économique. Alors la cruauté? Fonctionnement ou dysfonctionnement?
La seule façon de répondre à cette question est de reconstituer l’histoire :
Que feriez-vous à sa place? Vous êtes l’opérateur, un agneau coupé en deux
tombe à vos pieds, il hurle, vous faites quoi? Vous l’achevez comme vous
pouvez? Vous tournez la tête? C’est une histoire sans issue. C’est une histoire
tragique. C’est une histoire que les hommes et les femmes qui travaillent dans
des élevages industriels connaissent par cœur.
Article intégral :
http://www.liberation.fr/debats/2016/04/07/abattoirs-etre-cruel-pour-etre-rentable_1444674
Derrière les murs – ce que l’industrie ne veut pas
qu’on sache : http://www.l214.com/
~~~
Témoignage d’un ex-tueur ayant travaillé dans un
abattoir de poulets qui approvisionne Kentucky
Fried Chicken (KFC) aux États-Unis.
Dans le
crâne d'un tueur
Virgil
Butler
Traduit de l'anglais par David Olivier
Article intégral : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article239
Voici un sujet concret auquel la plupart des gens
ne pensent même pas, même ceux qui se battent pour les droits des animaux :
comment les personnes dont la tâche est de tuer les poulets sont-elles
affectées? C'est que la machine à tuer ne parvient jamais à trancher la gorge
de tous ceux qui défilent, surtout de ceux qui n'ont pas été correctement
insensibilisés par le bac électrique. Il y a donc un «tueur» dont la tâche
consiste à attraper ces poulets de manière à éviter qu'ils soient ébouillantés
vivants dans le chaudron. (Évidemment, le tueur ne peut les attraper tous, j'en
reparle plus loin.)
(En
lisant ce qui suit, gardez à l'esprit que je travaillais dans le plus petit de
tous les abattoirs de Tyson. Ils en ont de bien plus grands qui traitent des
centaines de milliers de poulets par nuit. Bien sûr, ils ont aussi plusieurs
tueurs; il y a toujours un tueur par chaîne.)
Si les droits des animaux vous intéressent,
visitez les libellés «Zoofriendly» et «Végétarisme»
~~~
Suggestions
de livres
Il y a une trentaine d’années, les végétariens
étaient abondamment ridiculisés. Quand j’entends les journalistes questionner Aymeric
Caron sur la valeur des insectes par rapport à celle aux humains, j’ai envie de
sauter au plafond. J’aime bien la réponse qu’il a servie à Marie-Louise Arsenault
à l’émission Plus on est de fous, plus on
lit (non textuel) : «Pourquoi les gens s’accrochent-ils aux insectes?
Pourquoi ne se questionnent-ils pas sur les milliards d’animaux maltraités quotidiennement
dans les élevages industriels et les abattoirs par exemple?» Voilà.
Un passionnant plaidoyer :
Antispéciste
Aymeric
Caron
Éditions Don Quichotte, avril 2016
Présentation de l’éditeur :
Un jour, les animaux auront tous des droits.
L’animalisme figure le prochain projet idéologique révolutionnaire, qui
réconcilie les hommes avec eux-mêmes et avec leur avenir.
Certains
en possèdent déjà : les animaux de compagnie, les espèces protégées et les
animaux d’élevage. Mais les droits que nous leur avons consentis sont minimaux
et incohérents. Nous traitons différemment les chiens, que nous considérons
comme des membres de la famille, des cochons, réduits au rang d’objets produits
en masse et abattus dans d’indignes conditions. Pourtant cochons et chiens
possèdent une sensibilité et une intelligence similaires. Comment en
sommes-nous venus à les classer dans des catégories si différentes? C’est que
nous sommes spécistes.
Le
terme, peu connu en France, fera bientôt partie de notre vocabulaire. À
l’instar du racisme et du sexisme, dont il poursuit la logique. Le spécisme
consiste à traiter différemment, et sans la moindre raison valable, deux
espèces qui présentent les mêmes caractéristiques. Tout comme nous avons
longtemps dénié aux femmes les mêmes droits que les hommes. L’affirmation de
l’antispécisme sera celle de l’animalisme, un mouvement philosophique qui
promeut la nécessité d’accorder des droits à tous les animaux, en raison de
leur capacité à souffrir. (...)
http://www.donquichotte-editions.com/donquichotte-editions/Argu.php?ID=125
L’auteur a également publié en 2013 No steak aux éditions Fayard. «Bientôt,
nous ne mangerons plus de viande. Nous cesserons définitivement de tuer des
êtres vivants – 60 milliards d’animaux chaque année – pour nous nourrir.»
Anthologie
d’éthique animale. Apologies des bêtes
Jean-Baptiste
Jeangène Vilmer
Éditions Puf, 2011
(L’auteur recommande
d’acheter son livre à la boutique
L214)
Présentation de l’éditeur :
La conduite des hommes à l’égard des animaux fait
depuis toujours l’objet d’une évaluation morale par ceux d’entre nous que la
souffrance indigne. La philosophie officielle en occident, qui justifie
l’exploitation des bêtes pour manger, travailler, expérimenter, nous divertir
et nous tenir compagnie, n’a jamais fait l’unanimité. L’éthique animale est
l’étude de la responsabilité morale des hommes à l’égard des animaux et cette
anthologie est son histoire. Une contre-histoire des animaux, dans laquelle
Pythagore, Vinci, Cyrano de Bergerac, Rousseau, Voltaire, Sade, Schopenhauer,
Lamartine, Darwin, Wagner, Hugo, Tolstoï, Zola, Gandhi, Russell, Colette,
Claudel, Yourcenar, Singer, Lévi-Strauss, Derrida, Houellebecq, Onfray et
beaucoup d’autres prennent position sur les droits des animaux, les devoirs de
l’homme à leur égard, le végétarisme, la chasse, l’expérimentation, la corrida,
les zoos et d’autres questions théoriques et pratiques. Réunissant 180 auteurs,
plus de 40 traductions et plusieurs textes inédits, ce livre de référence est
la première et la seule anthologie francophone sur le statut moral des animaux.
Autres ouvrages et articles de l’auteur : http://www.jbjv.com/-Livres-.html
~~~
La «glu» dans vos saucisses à hot-dog
Si seulement les gens savaient ce qu’ils
mangent...
L’emballage
des saucisses à hot-dog devraient inclure une mise en garde
Par Diane
Vukovic (Care2)
Les étiquettent de produits comme les cigarettes
et la bière incluent des mises en garde à cause des problèmes de santé qu'ils
peuvent causer. Même les produits qui ne sont pas destinés à la consommation, comme
les détergents à vaisselle, en ont aussi. Pourtant, des aliments dangereux pour
la santé ne comportent aucune mise en garde. Voici pourquoi les saucisses à hot-dog
devraient inclure une étiquette de mise en garde.
Les
saucisses à hot-dog : de la glu blanche (white slime)
Les résidus de viande déchiquetée mécaniquement (VDM)
constituent le principal ingrédient de la plupart des saucisses à hot-dog. On
appelle ces déchets organiques «glu blanche» à cause de leur ressemblance à la «glu
rose» (1). La VDM est dégueulasse mais la fabrication des saucisses l’est encore
plus. On pousse sous haute pression les restes des animaux à travers un tamis. Il
en sort une substance pâteuse (glu blanche) qui contient les os, le cartilage,
la peau, les nerfs, les vaisseaux sanguins et des débris de chair. À cause de
la maladie de la vache folle, transmise par le liquide céphalorachidien qui
pénètre les déchets organiques, l'USDA n'autorise pas le déchiquetage mécanique
de la viande de boeuf.
Ce
processus est vraiment dégueulasse. Toutefois, Fooducate souligne que ce n'est pas la seule cause de risques pour
la santé. Le problème est que les saucisses ne contiennent que le pire de la
viande : des déchets récupérés auxquels on ajoute des agents de
conservation et des matières grasses.
(1) La glu rose (pink slime), aussi connue sous les dénominations «lean finely
textured beef» (LFTB) et «boneless lean beef trimmings» (BLBT), est un ingrédient
de remplissage bon marché à base de bœuf qu’on ajoute à la viande hachée ou aux
viandes transformées.
Liens entre
saucisses à hot-dog et cancer
Le problème majeur avec les saucisses à hot-dog,
et plusieurs autres viandes transformées, est qu’elles contiennent des
nitrates. Maintenant, beaucoup d’aliments, y compris certains légumes comme les
carottes, contiennent des nitrates. Mais, les nitrates présents dans les saucisses
se transforment en nitrosamines lorsqu’ils se combinent à l’amine de la viande.
Les nitrosamines sont reconnues pour causer le cancer, notamment du côlon.
Quelle
est la gravité du risque? Selon EHSO, manger un hot-dog par jour augmente le
risque de développer un cancer colorectal de 21 pour cent! Des études ont
également démontré que la consommation de viandes transformées augmente le
risque de développer un cancer de la prostate, de l'ovaire, et la leucémie
infantile.
Mais qu’en est-il des saucisses étiquetées «sans
nitrates ajoutés»? Elles ne sont pas moins dangereuses. Même si l’on n’ajoute
pas de nitrates, elles en contiennent naturellement, et celles-ci peuvent se
transformer en agents cancérigènes.
Liens entre
saucisses à hot-dog et maladies cardiaques
Les maladies cardiaques sont actuellement la
principale cause de décès aux États-Unis. Nous savons déjà que manger de la
viande, surtout de la viande rouge, est lié aux maladies cardiaques. Cependant,
les viandes transformées, comme les saucisses à hot-dog, augmentent les risques
de beaucoup.
La
viande transformée est plus dommageable que la viande non transformée à cause
de sa teneur élevée en sodium, nitrates et additifs alimentaires qui affectent
le coeur. Une étude publiée par l'American
Heart Disease Journal a comparé les effets de la consommation de viande non
transformée à celle de viandes transformées. On a constaté que les hommes qui
mangeaient plus de viandes transformés
avaient un risque plus élevé d'insuffisance cardiaque (28 %) que ceux qui en
mangeaient moins. Pour chaque 50 grammes (un hot-dog) de viande transformée
consommée quotidiennement, le risque d'insuffisance cardiaque augmentait de 8
pour cent.
Les
saucisses à hot-dog contiennent des antibiotiques
On administre des antibiotiques aux animaux pour leur
faire prendre du poids rapidement et les garder en santé dans des usines d’élevage
dont les conditions sont déplorables. Il est impérieux de cesser d’inclure des antibiotiques
dans la nourriture des animaux car cela contribue à l'augmentation de super
bactéries qui résistent aux antibiotiques; ce qui peut constituer une menace
pour la santé humaine. Il y a également de plus en plus de preuves que ces
antibiotiques ont des effets nocifs directs sur la santé humaine, notamment parce
qu’ils favorisent la prise de poids.
Les
saucisses à hot-dog contiennent des protéines hydrolysées
Un autre ingrédient commun inclus dans les saucisses
à hot-dog est la protéine hydrolysée. Si vous mangez des saucisses à hot-dog végé
parce que vous les croyez plus sains, vous serez déçu d’apprendre qu’ils sont
souvent fabriqués à partir de protéines hydrolysées ou des ingrédients de
mauvaise qualité comme l’isolat de soja (protéines végétales texturées).
La
protéine hydrolysée est néfaste parce que sa fabrication consiste à la faire
bouillir dans une cuve d'acide pendant plusieurs jours, puis à la neutraliser
avec de la soude caustique. Le processus décompose les protéines afin qu'elles
se transforment en acide glutamique, mieux connu sous l’appellation GMS
(glutamate monosodique). Ainsi, sur l'étiquette d’emballage on remplace
trompeusement GMS par «protéine hydrolysée».
~~~
Pour une spectaculaire crise cardiaque :
Le Bacon
Fest de Sherbrooke (en fin de semaine). Poutine au bacon, saucisses
au bacon, bacon-bonbons, sundaes au bacon, bière au bacon, fudges au
bacon, biscuits Oréo au bacon, macaroni au fromage enrobé de bacon et bombes de bacon gratinées. Le QUÉBEC
BACON FEST offrira un très large éventail de produits décadents à base de porc
salé.
Suicidaire. Le cœur me lève juste à lire le menu.
Ça me fait penser au Quadriple Bypass Burger du Heart Attack Grill
https://www.youtube.com/watch?v=d-DDbXh1MYc
Voyez «La
civilisation porc/bacon émergeante» :
http://artdanstout.blogspot.ca/2013/07/la-civilisation-porcbacon-emergeante.html