6 septembre 2010

Dans l'air : zoothérapie

Ma vie avec ces animaux qui guérissent
de Victor-Lévy Beaulieu ramène la zoothérapie à la une.
Triple bravo! J’ai hâte de le lire…

Hugues Albert, Info Dimanche, Rivière-du-Loup, septembre 2010 (extrait) Le plus récent ouvrage d’un Victor-Lévy Beaulieu qui a choisi il y a longtemps de vivre « du bord des bêtes » est en voie de conquérir le Québec. Publié aux Éditions Trois-Pistoles, l’ouvrage décroche la cote Coup de cœur chez les principaux libraires et ce, quelques semaines seulement après sa parution. Surprenant, touchant, rempli de beauté toute simple, l’ouvrage se distingue par cette passion à fleur de peau qui se dégage des propos du grand écrivain.

Au sens le plus large, il s’agit d’un éloge bien mérité à tous ces êtres, petits et grands, qui forment le règne animal et dont le comportement, même si on le dit instinctif, est rempli d’un civisme qu’on retrouve à peine dans le genre humain…

Le célèbre auteur et dramaturge rend aussi éloge à toute la population animale qui partage sa vie. « J’étais malade et les bêtes m’ont appris la guérison », avoue-t-il sans gêne aucune, y puisant plutôt une sagesse émanant des odeurs et des humeurs de ce qui vit, patauge ou rumine.
***
J’en profite pour republier un extrait du billet «Pollution sonore» sur le ronronnement du chat, et ramener deux articles du libellé « Zoofriendly » en tête de liste - à la suite de ce billet.

Le ronronnement du chat

À l’émission «Des bêtes de cœur» on a présenté un reportage assez particulier au sujet d'un malade atteint d’un cancer généralisé, pratiquement en phase terminale. L'homme ne pouvait plus se déplacer qu’en fauteuil roulant, et selon le témoignage du médecin, il n’y avait plus aucun traitement ni médicament susceptible d’améliorer son état – il les avait tous essayés.

Quelqu’un de son entourage lui a acheté une chatte pour lui tenir compagnie. Elle venait ronronner plusieurs fois par jour, assise ou couchée sur lui. Après un certain temps l’homme a commencé à prendre du mieux, ce que le médecin ne comprenait pas. Son état s’est tellement amélioré qu’il a pu passer aux béquilles et ensuite à la canne. Cet homme était resplendissant et reconnaissant envers sa chatte car il savait qu’elle avait énormément contribué à sa guérison.

Une chercheuse scientifique interviewée a relaté nombre de cas semblables. Elle disait que les recherches en laboratoire démontraient que la fréquence vibratoire du ronronnement du chat était équivalente, sinon supérieure, aux ultrasons utilisés en thérapie corporelle. Elle disait que le ronronnement détruit la cellule cancéreuse, et même, qu’il aide à créer des cellules saines. Le médecin du patient corroborait ses dires.

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