Salvador Dali : l'Ascension |
Les interprétations des prophéties ou du calendrier Maya abondent à l’approche de 2012, supposément une date butoir. Il est dans l’ordre des choses de naître et de mourir, et il serait tout à fait possible que notre civilisation ait atteint sa date d’expiration. Comme le disait George Carlin : «La terre se porte très bien, ce sont les humains qui sont malades!»
Nous n’avons pas vraiment besoin de prophéties… Un satellite de la NASA pesant 6 tonnes devrait se scinder en 26 morceaux de 350 livres (pourquoi 26? hi-hi!) d’ici le 23 septembre; tous les continents, à l’exception de l’Antarctique, en recevront des morceaux. Suspense. Garanti que si vous en recevez un sur la tête, vous allez changer de dimension instantanément sans passer par une longue et fastidieuse «transition»… Et puis, si quelques comètes se mettent de la partie et percutent la terre, alors bingo!
Concernant les catastrophes de facture humaine, nous savons tous que les gérants au pouvoir n’ont pas considéré les rappels et pressions du mouvement de préservation de la nature. On continue de pousser sur la croissance économique tous azimuts, bien que celle-ci entraîne des destructions irréversibles. Et l’on ne peut pas dire que c’est amusant de boire de l’eau avec du gaz de schiste ou du pétrole dedans (ces jours-ci l’on nettoie les résidus d’une fuite de pétrole sur les côtes de la Suède)!
Futile de s’étendre sur le sujet. Je préfère aborder les impacts que nous essayons d’intégrer, à la fois dans notre corps physique et nos corps subtils. Car nous sommes en effet exposés à des taux de pollution dramatiques, visibles et invisibles (magnétiques)...
Des symptômes et des causes
Comme je le mentionne dans plusieurs articles, nos moindres réactions biologiques, émotionnelles et mentales sont maintenant diagnostiquées, répertoriées et traitées avec des médicaments – en fait, des drogues (l’étiquette portant la mention «approuvé par…» ne change rien à l’ingrédient de base!).
Or en ce moment, nous faisons probablement face à une mutation génétique et spatiotemporelle qui devrait modifier le pré-encodage de notre ADN afin de faciliter l’intégration de fréquences vibratoires plus lumineuses. Les changements physiques et émotionnels encourus ont cependant des effets yo-yo accompagnés de symptômes auxquels on doit s’habituer. Le va-et-vient continuel entre la réalité lumineuse et la «sombre» réalité terrestre induit des baisses d’énergie, des états dépressifs voire des maux inhabituels. Ces contingences ne sont pas symptomatiques de psychose ou de bipolarité (tels que décrits au catalogue DSM – Diagnostique et statistique des troubles mentaux).
Les réactions physiques et psychologiques à ce stress varient d’un individu à l’autre en fonction de ses propres caractéristiques biogénétiques, émotionnelles, mentales et psychospirituelles. Nous pouvons donc éprouver des désordres nerveux, une grande fatigue, des douleurs ou une combinaison de divers malaises et maladies. Il peut être salutaire – ou futile, c’est selon chacun – de consulter médecins, thérapeutes et psychiatres pour essayer de trouver ce qui cloche. Il est probable qu’on ne trouvera rien, mais qu’on prescrira tout de même divers remèdes. Et parfois, une maladie c’est aussi simplement une maladie… comme un passage «obligé» servant d’étape vers une nouvelle vie; et la mort est un outil de transition aussi valide que n’importe quel autre. Donc, souvenez-vous que les maladies et malaises, aussi étranges et inconfortables qu’ils soient, ne peuvent pas tous être imputés au processus de transition. N’hésitez pas à consulter des professionnels de la santé.
En réalité cette transition ressemble à un «extreme makeover» énergétique. Une sorte de chirurgie mentale et émotionnelle sans bistouri, mais qui affecte néanmoins le corps. Il n’y a pas d’anesthésiant pour nous aider car le but est de devenir plus «conscients», c'est-à-dire sortir de l’anesthésie justement.
“Don’t be too hard on yourself” … comme on dit. La récompense est que nous acquérons graduellement une maîtrise consciente de la réalité que nous créons. Par contre, plus nous nous accrochons au statu quo, comme à une épave, plus nous refusons le changement, plus nous souffrons… La tentation de rester dysfonctionnels vient du fait que notre périple évolutionnaire a été si ardu, périlleux, long et profond, que nous ne voulons pas droper notre bagage et sortir de l’ornière : «Ne touchez pas à mes dysfonctions, c’est peut-être l’enfer, mais au moins c’est du connu, je me sens chez moi!»
Dans les années 90, nous avons été immergés d’énergies de haute fréquence, beaucoup plus raffinées, subtiles et véloces que celles auxquelles nous sommes habitués sur terre. En 1996 notamment, ces énergies visaient l’ouverture de cœur. Palpitations, épisodes de tachycardie et problèmes respiratoires étaient monnaie courante car le tandem cœur/poumons était largement sollicité. Au moins trois mois d’activité. À un certain moment, je pensais mourir d’une crise cardiaque. Beaucoup de personnes de mon entourage éprouvaient la même chose. Nous n’avons pas consulté de cardiologues sauf une personne à qui on a dit que son cœur fonctionnait parfaitement. Nous absorbions des injections de «lumière». Les malaises reliés à la transition disparaissent souvent d’eux-mêmes sans laisser de séquelles physiques, et c’est ce qui nous est arrivé. Je ne recommande pas cette méthode (elle peut fonctionner ou non, il en va selon nos croyances), et surtout pas à ceux qui ne croient qu’au tangible/visible et aux scalpels/pilules. La chirurgie cardiaque physique peut également aider à ouvrir le cœur subtil…
Début 2000, d’autres vagues d’intensité variable ont également touché la terre. Depuis 2006 la pression augmente, et je ne serais pas surprise qu’à court terme un tsunami énergétique vienne ravaler notre vieux système bi/tridimensionnel de pensée avec son mode de vie archaïque, pour ne pas dire préhistorique, auquel nous sommes si attachés.
Les crises de transition individuelles et collectives sont choses courantes sur terre; il y en a eu à toutes les époques, ainsi que des extinctions; ça fait partie de l’évolution. Mais en ce moment, je crois que l’humanité dans son ensemble vit une transition particulière.
Vous avez probablement vécu quelques-uns des symptômes décrits dans le 2e message. Rien de nouveau comme tel, sauf que depuis quelques années, la multiplication des scénarios de transformation se manifestent en accéléré. Vous pensez à quelque chose, et paf! vous l’avez devant le nez, agréable ou désagréable; c’est quasi instantané, on se croirait en astral…
En 2008, Karen Bishop a publié sur le Net une liste des symptômes les plus courants causés par cette hausse de fréquence vibratoire. Et je souscris à sa liste – j’en ai expérimenté plusieurs et j’en vis des nouveaux occasionnellement. J’ai remanié divers éléments de ses longs articles (une traduction libre et colorée de mon propre vécu). L’essentiel est de savoir ce qui se passe, justement pour éviter de paniquer, de nous croire obligés de consulter tous les psy de la ville et de nous bourrer de pilules. Savoir permet de choisir… et d’user de discernement.
Symptômes communs de la transition; 2008
Introduction
Les énergies du dernier solstice nous ont fortement secoués. Bang! une explosion, comme si les choses étaient sorties de leurs gonds et flottaient dans l’air sans se déposer. Plusieurs aspects de la survie matérielle comme l’économie, l’emploi, les revenus, etc., s’écroulaient simultanément. Au plan émotionnel, nous ressentions les émotions de notre entourage dérivant du climat d’insécurité général.
La panique survient lorsque nous vivons une grande perte hors de notre contrôle, avec l’impression d’avoir atteint «la fin». Une «fin» radicale est toujours source de grande insécurité, de détresse, de peur et d’incertitude. Une chose se termine, mais il n’y a encore rien pour la remplacer dans la réalité tangible (extérieure). Alors c’est la panique au niveau subconscient, voire à des niveaux supérieurs, même si nous savons que cela fait partie de notre évolution. Difficile d’arriver au terminus sans perspective d’avenir à laquelle s’agripper. C’est l’un des défis de la transition, à savoir, mourir tandis qu’on est toujours vivant, incarnés dans un corps physique. Mais nous continuons, car nous savons que nous sommes ici par choix.
Dites-vous bien que si vous avez choisi de hausser votre fréquence, cela ne veut pas dire que votre entourage vous suivra. Des ruptures déchirantes sont prévisibles… car même si nous changeons de fréquence, nous restons des humains, avec des émotions humaines.
Des traits de personnalité et des comportements égotiques vibrant à moindre fréquence disparaissent aussi. Les aspects du vieil ego formaté pour survivre aux vibrations denses et brutales de la troisième dimension ne peuvent désormais subsister. Voilà une autre cause d’anxiété, car nous nous sentons vulnérables et à la merci d’un monde toujours dangereux puisque plusieurs humains fonctionnent encore à ce niveau.
La dissolution des vieilles structures sociales fait en sorte que notre avenir, nos finances et notre survie personnelle peuvent devenir préoccupants. Quand tout s’effrite simultanément, incluant de grands pans de notre personnalité, il est normal d’éprouver de la détresse. Ne vous jetez pas pour autant sur la première drogue venue. Des questions terre-à-terre peuvent devenir obsédantes… «Dois-je me donner la peine de créer quelque chose de nouveau?» Il devient difficile de nous réorienter, et même si nous choisissons une nouvelle voie, celle-ci peut disparaître du jour au lendemain. Tout est fluctuant, sans fondations ni directions.
«Je ne sais plus qui je suis… Avant je savais quoi faire mais maintenant je suis complètement perdu.» «Je me sens encagé, vulnérable, impuissant et livré aux caprices du destin.» «Je manque de confiance. J’ai l’impression d’être un bon à rien.» «J’ai l’impression d’être invisible, inutile et pas du tout apprécié.» Le fait de vibrer à une fréquence supérieure peut nous rendre invisible aux autres par manque de résonance, mais aussi parce que beaucoup de gens sont coincés dans leur propre chaos, et ne voient plus rien d’autre.
«Je n’ai pas envie de faire quoi que ce soit. Plus rien ne m’intéresse. Je veux juste m’amuser. Je veux prendre ma retraite. Je suis épuisé. J’ai besoin de me régénérer. J’ai besoin d’une longue période de repos… ou bien d’une vacance à vie.» «Ne vous occupez pas de moi, j’ai besoin de me retirer du monde extérieur» ou «Sortez-moi d’ici, je veux fuir dans un endroit différent et ne jamais revenir!» «Je veux retourner chez moi, là où les choses sont cohérentes et harmonieuses!» La dépression et l’apathie proviennent du décalage entre notre perception antérieure de la réalité et l’actuelle. Et c’est, encore une fois, une réaction normale.
Liste des symptômes et liens vers les articles originaux (en anglais) de Bishop dans le message qui suit.
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