C’était trop beau! Voilà qu’une auto stationne en bordure du parc. Le volume de la radio et du woofer est au maximum. Tout vibre. Nul besoin de dire que mon plaisir s’est volatilisé. Mais bon, le copain du conducteur monte dans la bagnole et on démarre sur le chapeau des roues. Ouf! Je retombe dans mon état méditatif. Peu de temps après, trois grosses motos à silencieux tronqués pétaradent dans la rue. Désespérant. Finalement, c’est une tondeuse à gazon qui m’a fait déguerpir. Il s’agit pourtant d’un quartier très tranquille.
Disons que je n’ai rien contre les radios dont le volume est sous la barre du seuil de tolérance en décibels, ni contre les motos avec silencieux. Les agressions sonores étant omniprésentes, il devient de plus en plus difficile de trouver des endroits paisibles où l’on peut se ressourcer, en banlieue et même à la campagne. À tel point qu’une fondation a été créée, «Le groupement québécois contre le bruit – excessif », pour protéger notre espace sonore collectif. Si le problème vous préoccupe visitez leur site : http://www.rqcb.ca/fr/accueil.php .
Décibels : évaluation du volume des sons ou des bruits
Sur une échelle de 0 à 130, nous ne percevons pas les sons nettement situés sous les 20 dB.
- Le chuchotement se situe à 25 dB, le bruit d’une conversation atteint 60 dB et à voix haute autour de 70 dB.
- Un orchestre bruyant ou un concert rock atteint facilement 80 à 90 dB et peut-être même 110 dB.
- À 110 dB, le seuil de la douleur est presque atteint car le seuil est à 120 dB.
- Les êtres vivants peuvent mourir s’ils sont exposés à des sons d’intensité supérieure à 150 dB – expression absolue de la puissance du son et des vibrations.
Pourquoi avons-nous besoin de faire tant de bruit? Est-ce par besoin de s’affirmer, pour signifier qu’on existe? Pour narguer et contrarier? N’avons-nous pas suffisamment de bruits incontournables à endurer?
Toutes choses, par immortel pouvoir, proches ou lointaines, à l’insu l’une de l’autre, sont liées. On ne peut troubler une fleur sans déranger une Étoile. (Francis Thompson)
Voici quelques pistes de réflexion à ce sujet.
La pollution sonore a bonne antenne car notre société craint le silence. Dans les supermarchés, les toilettes publiques, les banques et jusque dans les rues, nous sommes agressés par des musiques sirupeuses ou heavy metal destinées à mieux influencer nos comportements. La ligne est occupée chez votre médecin? Vous voilà automatiquement branché sur un chanteur qui hurle à tue-tête : «Je suis malade, je suis malade, je suis malade!» Comme si ce n’était pas suffisant, nous écoutons volontairement du babillage, des chansons à bon marché et de la publicité tout en ignorant l’impact qu’aura sur nous cette pizza sonore apparemment digeste. Nous consommons sans protester ni nous questionner. Pourtant, les recherches en psychologie montrent bien comment il est facile de nous manipuler par la répétition de sons, d’images et de phrases faisant appel à des émotions et convictions spécifiques. Cette technique induit graduellement le mental conscient à se comporter en fonction de stimuli subconscients.
En réalité, la question n’est pas tant de savoir si on préfère Céline Dion ou Jean Sébastien Bach, mais plutôt avec quel genre de musique on est en résonance. Pour le découvrir, il faut écouter et ressentir consciemment la portée des sons et, s’il y a lieu, des mots. (Il importe peu de se limiter à un style précis - on a parfois avoir besoin de musique «rouge» pour se stimuler ou de musique «rose nanan» pour se calmer.)
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Sources de l’article qui suit : certains passages (en italique) s’inspirent du livre «La thérapie par les sons» de DEWHURST-MADOCK Olivea, Le Courrier du Livre; les données scientifiques proviennent d’une variété de rapports de recherche.
Le pouvoir du son
La physique a clairement démontré que tout est lumière, son et mouvement. Les sons naissent du mouvement qui agite les atomes et les molécules et de la réunion de nombreuses fréquences différentes. Les objets possèdent une fréquence vibratoire déterminée par leur taille, leur forme et la matière dont ils sont faits (un verre de cristal ne résonne pas de la même façon qu’une barre de zinc); à l’instar des objets, les humains vibrent différemment selon leur constitution.
Les sons agréables (musique) proviennent de fréquences agencées par harmonie vibratoire et les sons désagréables (bruits) résultent de l’assemblage de fréquences désordonnées n’ayant aucune similitude vibratoire. Nous baignons dans un cocktail sonore fait de sons harmonieux ou discordants, apaisants ou stressants, pouvant guérir, blesser et même tuer. Par exemple, un chanteur entraîné peut avec sa voix reproduire la fréquence vibratoire naturelle d’un verre et le faire vibrer par sympathie; s’il émet des ondes sonores précises qui dépassent la résistance du verre, ce dernier éclate. Lorsqu’on augmente la fréquence d’une onde sonore on voit les motifs dessinés par des poudres, des liquides et des corps mi-solides (mercure, glycérine) perdre leur régularité et se désorganiser; en l’augmentant davantage, de nouveaux agencements apparaissent, harmonisés à la nouvelle fréquence. Les vibrations ne se propagent pas uniquement dans l’air, elles se transmettent aussi d’un solide à un autre.
Notre ouïe ne nous permet pas d’entendre les sons extrêmes de basse et de haute fréquence, mais la table de résonance qu’est notre corps physique les capte pour nous signaler s’il y a résonance ou résistance. Les sons audibles et inaudibles peuvent détruire (1), mais, utilisés à bon escient, ceux-ci peuvent modifier positivement la structure moléculaire, cellulaire et organique.
Déterminez la qualité sonore de votre environnement
Pratiquez l’écoute consciente. Sélectionnez des musiques et prenez le temps de ressentir ce qui se passe en vous à tous les niveaux; notez et comparez les effets physiques et émotionnels. Avec la pratique vos perceptions se raffineront et vous pourrez facilement séparer l’ivraie du bon grain.
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Et puis, recherchez les sons de la nature lorsque vous êtes troublé par des émotions intenses; ces sources naturelles de guérison apaisent les turbulences cérébrales et émotionnelles. Nos états émotifs s’articulent au gré de l’énergie ambiante et nous pouvons y répondre, non pas impulsivement, mais en toute conscience; nous avons le choix. Une telle habitude a l’avantage d’augmenter le degré d’équilibre, de cohérence et d’harmonie de notre environnement.
En matière d’autoguérison, la nature et la voix détiennent la palme d’or. Les effets bénéfiques de la musique et des sons provenant de la nature sont légendaires. Nous n’avons pas besoin de preuves au sujet des effets apaisants et restaurateurs de la musique naturelle ni au sujet de la joie que procure le chant d’un oiseau. Un excellent moyen de prendre conscience de cette musique consiste à sortir au grand air et à écouter attentivement les sonorités que nous y entendons : le chant des oiseaux, le bourdonnement des insectes, le sifflement du vent, le bruissement des feuilles, le crissement de l’herbe, le murmure du ruisseau, l’aboiement des chiens et le hennissement des chevaux. Cela fait longtemps que les thérapeutes et les psychologues aident leurs patients à observer comment la musique naturelle influence l’âme et sa sphère. Si plantes et animaux réagissent, pourquoi pas les humains? Sous le vernis de la civilisation moderne, souvent très mince, il ne faut pas oublier que nous sommes aussi extirpés de la nature. Nous pouvons revenir à l’intelligence des choses par une communication étroite avec la nature. En fait la musique, entendue au plan spirituel, signifie «respect de la vie».
(1) Ondes infrasoniques/ultrasoniques et hyperfréquences : il est possible de provoquer la mort par ébranlement sonore des cervicales. Certaines ondes sonores, audibles ou non, agissent sur la matière. Les ultrasons sont d’autant plus dangereux qu’ils ne peuvent être perçus; cependant ils peuvent provoquer des lésions internes importantes et irréversibles pour l’oreille. Ils ont été testés pour briser des os (les ondes d’hyperfréquence propagées par les radars – utilisés pour la téléphonie cellulaire – provoquent des variations de la tension artérielle et modifient le flux des ions de calcium, potassium et sodium). En traversant la membrane cellulaire, les ondes d’hyperfréquence génèrent des signaux microélectriques qui se propagent dans tout le système nerveux pour informer le cerveau de ce qui se passe dans notre environnement; le cerveau déclenche par la suite une réaction musculaire, un malaise, une maladie ou autre pour signifier qu’il y a un danger. (FILTERMAN Marc, Les armes de l’ombre; Carnot, Collection Ciceron, 1999)Le pouvoir des mots
Les mots sont des symboles qui servent à communiquer des émotions et des sentiments. Le langage véhicule des idées, des croyances et des concepts, influence et suscite des comportements. C’est pourquoi il importe d’en reconnaître la charge émotionnelle et l’intentionnalité.
Il vous arrive sûrement d’écouter une chanson et, par la suite, de ressentir de la mélancolie, de la frustration ou des malaises physiques, ou au contraire, une paix intérieure, de la joie ou un bien-être général. Lorsqu’on cultive inconsciemment un état d’esprit on augmente son intensité par attraction magnétique. Les magnats de l’industrie de la musique tirent profit de notre vulnérabilité émotive par l’abus de chansons populaires qui suscitent l’apitoiement, la mélancolie et la violence. Pourquoi nous soumettons-nous passivement à ces exutoires de négativité? Accepterions-nous que le voisin déverse ses ordures dans notre salon? Toutes ces lamentations et platitudes récurrentes nous privent des véritables sentiments d’amour et de joie qui font vibrer à plusieurs coches au-dessus de l’émotivité.
La musicothérapie
En musicothérapie, on utilise des sons et des vibrations produits par des instruments de musique et par la voix pour soigner des problèmes de santé tels que la douleur, l’hypertension, les difficultés d’apprentissage ou d’attention, la dépression, l’anxiété... Le corps est une véritable table de résonance, et à ce titre, la musique affecte tout notre système nerveux central. Dépendant des bruits, des sons et des musiques que nous entendons (passivement) ou écoutons (consciemment), les effets seront positifs ou négatifs.
La musicothérapie ne requiert aucune connaissance musicale, il suffit d’écouter, de s’écouter ou de jouer!
On a beaucoup utilisé la musicothérapie en psychothérapie, mais maintenant, vu les nombreuses preuves scientifiques de ses effets physiologiques, les applications thérapeutiques se sont multipliées.
Voici ses principaux domaines d’utilisation :
- Psychothérapie et relation d’aide : santé mentale, soins palliatifs, soins gériatriques, soins intensifs
- Amélioration des fonctions physiologiques : tension artérielle, rythme cardiaque, capacité respiratoire
- Réduction de l’anxiété et de la douleur soins palliatifs, cancer phases pré et postopératoires
- Traitement : autisme, troubles neurologiques (lésion cérébrale, maladie d’Alzheimer, sclérose en plaques, Parkinson), enfants prématurés (amélioration de la santé)
La musicothérapie se pratique maintenant dans beaucoup d’écoles, hôpitaux, établissements de soins de longue durée, résidences d’aînés, centres de rééducation fonctionnelle, centres communautaires, centres de réadaptation pour alcooliques et toxicomanes, en milieux correctionnels et en cabinet privé.
Dans certains hôpitaux allopathiques on teste l’utilisation du son dans les salles d’opérations pour réduire la douleur, les complications chirurgicales chez certains patients, et promouvoir la détente qui réduit la tension artérielle et ralentit la respiration à la fois chez le médecin et le patient.
Au Centre médical Worcester de l’université de Massachusetts on utilise des enregistrements de harpe au lieu de tranquillisants et d’antidouleurs pour les patients cancéreux. En Ontario, une recherche a démontré que les patients exposés à 15 minutes de musique apaisante requerraient la moitié moins de doses d’anesthésiant et de sédatif lors d’opérations douloureuses.
Corrélation entre la santé et la musique
Le corps est un instrument d’autoguérison. Chaque cellule de notre corps est un résonateur de son et vit selon un modèle rythmique. Chaque organe a sa note vibratoire ou musicale. Chacun des systèmes du corps physique a son cycle. Ces divers systèmes répondent aux vibrations sonores de nos états de conscience au plan mental, émotionnel et spirituel.
Certains sons particuliers peuvent donc transporter un auditeur d’un état de conscience vers un autre, plus joyeux et positif. Même les cellules en bon état deviennent plus brillantes et vibrantes lorsqu’elles sont exposées à ce genre de musique.
La musique peut également être utilisée pour créer une diversion. Elle peut détourner notre attention des situations déplaisantes ou indésirables. Par exemple, on peut écouter de la musique très joyeuse pour réduire l’anxiété, la douleur ou se transporter temporairement vers une autre réalité, en particulier pendant un processus de guérison.
Comment la musique peut-elle guérir?
Il est maintenant prouvé que la musique nous affecte physiquement, psychologiquement, émotionnellement et spirituellement. Nous savons que nos réactions à la musique sont très complexes, subtiles et qu’elles ont une portée plus considérable que ce qu’on a scientifiquement prouvé. Cependant, en science, on a toutefois pu mesurer les effets physiologiques du son tels que des changements dans la circulation sanguine ou la vitesse de réaction des muscles. Les nouvelles recherches démontrent la connexion entre la sécrétion d’endorphines et de neuropeptides et les changements d’humeur. Par exemple, la musique relaxante peut diminuer la douleur et l’anxiété en abaissant le taux de cortisol (une hormone associée au stress) et en libérant des endorphines dont les propriétés sont à la fois calmantes, analgésiques et euphorisantes.
Des études démontrent que la musique aide à augmenter le taux de sérotonine et des hormones de croissance. La musique peut nous faire passer du bêta à l’alpha, et du thêta au delta. Néanmoins, il semble que ce soit l’état de conscience alpha (état méditatif conscient) qui soit le plus propice à la guérison.
La voix humaine
Plusieurs musiciens on fait d’étonnantes découvertes sur la guérison par le son, notamment avec la voix. Les expériences les plus significatives en rapport avec la guérison de la cellule sont celles réalisées avec la voix humaine – entre autres, lorsqu’on chante les notes de la gamme en s’adressant consciemment aux cellules.
La voix humaine charrie quelque chose dans sa vibration qui la rend plus puissante que n’importe quel instrument de musique, et cette chose, c’est la conscience. Il semble que les cellules cancéreuses soient incapables de supporter l’augmentation vibratoire progressive que produit la voix.
Le nucléus des cellules cancéreuses est incapable de maintenir sa structure lorsque les ondes de fréquence de la voix attaquent les membranes cytoplasmiques et nucléaires. La vibration du son de la voix transforme littéralement la structure de la cellule. Avec l’intensification de la voix et la durée du son en continu, le taux vibratoire s’élève tellement que les cellules cancéreuses ne peuvent pas s’y adapter ou se stabiliser. Alors, elles meurent. Un médecin a prescrit à deux femmes atteintes d’un cancer du sein de chanter ou de vocaliser trois heures et demi par jour pendant un mois. Chez l’une, la tumeur a complètement disparu, chez la seconde, la tumeur s’est desséchée et a simplement été retirée par le chirurgien.
Les émotions et la maladie
Étant donné que tout dans l’univers vibre à diverses fréquences, avec un peu de pratique nous pouvons apprendre à modifier nos fréquences pour faciliter la guérison des émotions et du corps. La maladie commence dans le corps émotionnel. On traîne de vieilles blessures qui nous collent à la peau et on a parfois énormément de difficulté à s’en libérer. Elles finissent par attaquer certains organes. Par exemple, quelqu’un qui est toujours en colère et qui n’arrive pas à la transcender risque de développer des problèmes de foie. Quelqu’un qui vit toujours dans la peur aura des problèmes de reins, etc. Chaque émotion touche un ou plusieurs organes et systèmes physiologiques.
Si un organe est malade c’est qu’il est hors fréquence; mais il est possible de le ramener à une vibration harmonieuse avec des sons appropriés. L’expression vocale, les bols de cristal ou de métal, les diapasons thérapeutiques et la musique ont définitivement des vertus thérapeutiques. En thérapie d’harmonisation, on a remarqué que les diapasons agissaient directement sur la fréquence vibratoire de la cellule, des organes, etc.
- La guérison physique passe par la guérison émotionnelle.
- Il n’y a pas de guérison de longue durée sans détente; c’est quelque chose qui doit se pratiquer à tous les jours, accompagné de musique ou non.
- La musicothérapie calme les démons intérieurs.
- La musicothérapie est une méthode non pharmaceutique de contrer la douleur et l’inconfort physique.
Les émotions toxiques produisent des cancers émotionnels et les cancers émotionnels produisent les cancers physiques. Selon des études en psychologie, le cancer du sein par exemple, est directement lié au fait de ne pas répondre à ses propres besoins parce qu’on préfère répondre à ceux des autres. D’ailleurs, il semble que la plupart des cancers soient une conséquence de «l’effacement de soi» au profit de l’entourage.
Le propre du système immunitaire est de discriminer le «soi» du «non-soi». Si le corps est envahi par des virus et des bactéries, en principe le système immunitaire (le guérisseur intérieur) dépêche une armée de «tueurs» pour s’en débarrasser. Si quelqu’un se comporte d’une manière toxique ou abusive envers nous, en principe nous devrions nous en débarrasser. Ce principe s’applique aux pensées, aux émotions, aux personnes, aux aliments, etc. Pour limiter les intrusions, il nous appartient de laisser passer les pensées, les émotions et les personnes qui ont des effets destructeurs sur nous.
Dans les cas de cancer en général, voici les principaux problèmes que la musicothérapie atténue : la douleur, la dépression, les nausées et les vomissements, la colère, la fatigue, l’infection, l’inquiétude, le manque d’appétit, le stress, l’épuisement moral, la peur, la diminution des facultés cognitives, les problèmes de peau, les symptômes semblables au rhume, les allergies cutanées, l’hypertension ou l’hypotension, la respiration difficile
Avec la musicothérapie on note également une amélioration : de la fonction cognitive, de l’humeur, de la qualité de vie, de l’appétit (ce qui permet une diète propre à renforcer le système immunitaire)
Pour plus d’information : Association québécoise de musicothérapie (UQÀM/Département de musique) Site : http://www.musicotherapieaqm.com/
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Je m’en voudrais de passer sous silence le ronronnement du chat. J’ai vu à l’émission «Des bêtes de cœur» un reportage sur un homme atteint d’un cancer généralisé, pratiquement en phase terminale. Cet homme ne pouvait plus se déplacer qu’en fauteuil roulant et selon le témoignage du médecin, il n’y avait plus aucun traitement ni médicament susceptible d’améliorer son état – il les avait tous essayés.
Quelqu’un de son entourage lui a acheté une chatte pour lui tenir compagnie. Elle venait ronronner plusieurs fois par jour, assise ou couchée sur lui. Après un certain temps l’homme a commencé à prendre du mieux, ce que le médecin ne comprenait pas. Son état s’est tellement amélioré qu’il a pu passer aux béquilles et maintenant, une canne lui suffit. Cet homme était resplendissant et reconnaissant envers sa chatte car il savait qu’elle avait énormément contribué à sa guérison.
Une chercheuse scientifique interviewée a relaté nombre de cas semblables. Elle disait que les recherches en laboratoire démontraient que la fréquence vibratoire du ronronnement du chat était équivalente, sinon supérieure, aux ultrasons utilisés en thérapie corporelle. Elle disait que le ronronnement détruit la cellule cancéreuse, et même, qu’il aide à créer des cellules saines. Le médecin du patient a corroboré ses dires.
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