En relisant «Aux arbres» de Victor Hugo, je me disais qu’à son époque, il devait y avoir plus d’arbres que d’humains sur la planète. De nos jours c’est l’inverse, et même en roulant des milliers de kilomètres on ne trouve plus guère de grandes forêts encore debout. 
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| Rosier sous les arbres; Gustav Klimt, 1905 | 
Forêt enchantée
De l’autre côté du voile
Immortel, je vis, je bouge
Tout vibrant de lumière
D’une dimension sans commune mesure  
De l’autre côté du voile
Mes oiseaux touchent les constellations 
Aucune tempête n’altère
L’explosion de joie, l’étrange liberté
De l’autre côté du voile
Je suis orange, rose, bleu, émeraude ou or
Je prends la teinte et la texture
De celle qui me crée
De l’autre côté du voile
Je suis volutes fleuries, halos délicats  
Sourire tranquille et 
Vision élégante de l’âme 
Mestengo © 2004
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| L'arbre rouge; Piet Mondrian, 1909 | 
Que dire?
RépondreEffacerSinon que le poème est superbe...
Et d'un monde à moitié ailleurs, à moitié ici.
Bonne journée!
Merci!
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